Après un colloque international sur le sida, un observateur indigné, s'écrie:''le sida fait vivre autant qu'il tue''.Qu'en pensez-vous ?
Publié le 18/02/2012
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Tout ceci ramène souvent au second plan le fait que même si le sida fait vivre,il fait beaucoup de ravage:il tue l'homme et déstabilise la société.
Le sida tue l'homme en ce sens que pour l'instant c'est une maladie incurable.Une personne qui la contracte est comme condamnée à mourir.Les orphelins du sida,laissés pour compte peuvent virer à la rue,à la délinquance,à la prostitution et finir en prison ou pire mourir à leur tour.Le sida est un frein au développement social car il attaque les bras valides et les cerveaux de la société,les jeunes qui constituent l’avenir.Il est aussi un frein au développement économique car l'Etat est obligé de débourser de grosses sommes d'argent pour la prise en charge des personnes infectées,les malades et pour les campagnes de sensibilisation alors que ces sommes auraient pu servies à financer d'autres projets de développement tels que les routes,les écoles,les centres de santé,etc.Le sida tue donc à la fois les personnes et l'économie des Etats.
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comme condamnée à mourir.Les orphelins du sida,laissés pour compte peuvent virer à la rue,à la délinquance,à laprostitution et finir en prison ou pire mourir à leur tour.Le sida est un frein au développement social car il attaque les brasvalides et les cerveaux de la société,les jeunes qui constituent l’avenir.Il est aussi un freinau développement économique car l'Etat est obligé de débourser de grosses sommes d'argent pour la prise en charge despersonnes infectées,les malades et pour les campagnes de sensibilisation alors que ces sommes auraient pu servies àfinancer d'autres projets de développement tels que les routes,les écoles,les centres de santé,etc.Le sida tue donc à la foisles personnes et l'économie des Etats.
Au regard de ce qui précède,nous constatons bien qu'en plus de son coté néfaste,le sida constitue un tremplin deréussite financière pour certaines personnes.Faut-il pour autant affirmer que c'est ce qui fait traîner la découverte ou lesrecherches du remède à ce fléau?Nous pensons qu'il faut se débarrasser de telles conceptions et mettre cette traîne aucompte du caractère complexe de la maladie.Cependant il serait souhaitable à notre avis,de prendre en considération lesdébuts de solutions trouvées ici et là,d'où qu'ils viennent.Car n'est-ce pas justement leur négligence qui fait penser à unemauvaise foi des chercheurs? Le SIDA fait aujourd'hui ravage dans le monde entier.Ainsi malgré les nombreuses actions entreprises pourle contenir,celles-ci semblent n'avoir aucun effet sur cette maladie si bien qu'on a l'impression que l'on se sert d'elle pours'enrichir.C'est ce qui a fait dire à un observateur que:"le sida fait vivre autant qu'il tue".Une telle assertion soulève laquestion de l’efficacité des recherches sur le sida.Aussi,si cette maladie constitue un fléau vu ses effets néfastes sur lasociété,il faut reconnaître que paradoxalement,les recherches qu'elle engendre contribuent d'une certaine façonau développement de cette société.
Le SIDA fait vivre à travers les rencontres internationales et à travers les firmes et les organisations.Les rencontres internationales sont profitables aux Etats organisateurs.Elles sont le lieu de toutes les tractations autour decette maladie.Ce qui attire tous ceux qui interviennent dans ce domaine.Ce grand nombre de participants occupeles hôtels de luxe;il font aussi du tourisme avant et après les dates et horaires du colloque et même pendant celui-ci auxheures creuses.Tous ces mouvements influent bénéfiquement sur le transport et la restauration.En somme, les colloquesengendrent une plus-value considérable pour l'économie des Etats organisateurs.Les organisateurs et les participants en tirent aussi un grand profit.De grosses sommes d'argent sont dégagées et servent autraitement des organisateurs et participants en plus des frais de missions alloués par leurs pays respectifs.Ils en sortent lesporte-feuilles bien garnis.A travers les firmes et organisations,le sida fait aussi vivre.Il sert de tremplin à ces firmes et à leur survie.Grace au sida,degrosses entreprises existent et fonctionnent en employant du personnel,réduisant ainsi le chômage.Il en est ainsi desentreprises de fabrication de préservatifs,d'antirétroviraux et d'autres gadgets de sensibilisation contre le sida.Desorganisations non gouvernementales se créent et fonctionne avec souvent des budgets conséquents.Aussi des structuresinternationales de lutte contre le sida allouent de grosses sommes d'argent aux Etats,sommes souvent utilisées à d'autresfins.C'est le cas de l'ONUSIDA et l'OMS,structures spécialisées de l'ONU.Dans ces conditions,les chercheurs sont soupçonnésde ne pas se presser pour découvrir le remède du sida car cela risque de faire disparaître leur source de revenu.
Tout ceci ramène souvent au second plan le fait que même si le sida fait vivre,il fait beaucoup de ravage:il tue l'hommeet déstabilise la société.Le sida tue l'homme en ce sens que pour l'instant c'est une maladie incurable.Une personne qui la contracte estcomme condamnée à mourir.Les orphelins du sida,laissés pour compte peuvent virer à la rue,à la délinquance,à laprostitution et finir en prison ou pire mourir à leur tour.Le sida est un frein au développement social car il attaque les brasvalides et les cerveaux de la société,les jeunes qui constituent l’avenir.Il est aussi un freinau développement économique car l'Etat est obligé de débourser de grosses sommes d'argent pour la prise en charge despersonnes infectées,les malades et pour les campagnes de sensibilisation alors que ces sommes auraient pu servies àfinancer d'autres projets de développement tels que les routes,les écoles,les centres de santé,etc.Le sida tue donc à la foisles personnes et l'économie des Etats.
Au regard de ce qui précède,nous constatons bien qu'en plus de son coté néfaste,le sida constitue un tremplin deréussite financière pour certaines personnes.Faut-il pour autant affirmer que c'est ce qui fait traîner la découverte ou lesrecherches du remède à ce fléau?Nous pensons qu'il faut se débarrasser de telles conceptions et mettre cette traîne aucompte du caractère complexe de la maladie.Cependant il serait souhaitable à notre avis,de prendre en considération lesdébuts de solutions trouvées ici et là,d'où qu'ils viennent.Car n'est-ce pas justement leur négligence qui fait penser à unemauvaise foi des chercheurs? Le SIDA fait aujourd'hui ravage dans le monde entier.Ainsi malgré les nombreuses actions entreprises pourle contenir,celles-ci semblent n'avoir aucun effet sur cette maladie si bien qu'on a l'impression que l'on se sert d'elle pours'enrichir.C'est ce qui a fait dire à un observateur que:"le sida fait vivre autant qu'il tue".Une telle assertion soulève laquestion de l’efficacité des recherches sur le sida.Aussi,si cette maladie constitue un fléau vu ses effets néfastes sur la.
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