Etude grammaticale de l'infinitif
Publié le 20/02/2022
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«
Introduction
Nous allons traiter dans ce commentaire les cas d’infinitif employés dans un texte
extrait d’un roman intitulé « Le Roman comique » de Paul Scarron, un grand écrivain
du 17eme siècle.
C’est un commentaire grammatical dans lequel nous allons tâcher de
répondre à une question principale : quelles sont les natures et les fonctions des cas
d’’infinitif employés dans ce texte ?
Le terme « infinitif » vient du mot latin infinitivum verbum, ce qui signifie « qui n’a
pas de contours précis », c'est-à-dire impersonnel.
C’est un mode dont la forme ne
marque ni le temps ni le nombre ni la personne.
Il a généralement deux formes :
l’infinitif présent et l’infinitif passé : Le premier exprime l’inaccompli, il envisage
l’action en cours de réalisation.
Celle-ci est située dans le temps suivant la relation
existant entre l’infinitif et le verbe principal ou le contexte.
Tandis que le second
exprime l’accompli.
Notre corpus en comporte 21 occurrences divisées entre les deux temps : 2 cas de
l’infinitif passé et les autres pour l’infinitif présent.
Pour traiter ce mode impersonnel dans le texte, nous allons étudier dans une
première partie l’infinitif comme centre de périphrase, et dans une seconde partie
comme étant proposition subordonnée infinitive.
Enfin, la troisième partie sera
consacrée à étudier l’infinitif qui est le centre d’un groupe ayant une fonction
nominale..
»
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