Un conte peut en cacher un autre Roald dahl
Publié le 17/05/2013
Extrait du document
« Un style très libre Roald Dahl ne se contente pas de d étourner les contes, il joue également avec le registre de la langue. Ces contes sont écrits en vers mais il prend beaucoup de libert é avec ceuxci et joue plut ôt sur l’humour. Cendrillon s’adresse ainsi à sa marraine la F ée : Ce qui se passe, marraine ? Je suis dans la m élasse Pendant que mes sœurs en dansant se pr élassent ! De rage, frappant le mur comme un vrai punchingball Elle crie à sa marraine : « Je veux aller au bal ! » Par cet extrait, on voit qu’il utilise un vocabulaire familier et n’h ésite pas à ins érer des éléments anachroniques tels le punchingball. En effet, on rencontrera dans ses contes des waterclosets, une surboumpartie, une jeune fille au pair, une Rolls, un beefsteack… Il a parfois aussi recours à des expressions argotiques. Voici un exemple tir é de Cendrillon : Mais soudain minuit sonne. La belle s’ écrie : « Zut ! Il faut que je me tire sans perdre une minute ! » Et un autre o ù une de ses sœurs essaie le soulier : Il me va, il me botte ! Sensass ! Tu dois tenir ton serment Mon pied a trouv é sa place dans la fameuse godasse !. »
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