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THEME: LA SEPERATION DANS UNE SI LONGUE LETTRE

Publié le 13/04/2023

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« THEME: LA SEPERATION DANS UNE PLAN DE L’EXPOSE INTRODUCTION I. TYPES DE SEPARATION 1) SEPARATION PAR LE DIVORCE 2) SEPARATION DUE A LA MORT 3) SEPARATION PAR LA DISTANCE II. III. LES CAUSES LES CONSEQUANCES CONCLUSION  FATOUMATA CISS  OULEY NIANG  COUMBA CISS  AISSATA BA  FATOU BALDE SOURCES : o Roman : une si longue lettre o wikipedia o www.etudier .Fr INTRODUCTION Une si longue lettre est conçue sous forme d’une longue lettre que la narratrice RAMATOULAYE adresse à sa meilleure amie AÏSSATOU et dans laquelle elle évoque ses souvenirs.

Le Roman raconte les destins croisés de ces deux amies, qui sont toutes deux mariées et mères de Famille et qui ont toutes deux connu des déboires dus à des séparations dans leur ménage.

Le récit a pour point de départ la mort du mari de la narratrice, MODOU FALL. La séparation dans une si longue lettre peut être définie comme étant la rupture entre deux personnes qui entretenaient une relation amicale (RAMATOULAYE et AISSATOU) ou amoureuse (AISSATOU ET MAODO).Cette séparation est due soit à la mort, soit à l’abandon ou soit par la distance. I. LES TYPES DE SEPARATION 1) SEPARATION PAR LE DIVORCE A la vie dans la rage et l’aigreur qu’aurait été, pour elle, une vie polygamique, Aïssatou choisi la rupture, radicale, définitive.

Elle est professeur des universités, avec ces seuls enfants pour bagage elle quitte la quiétude financière de son foyer pour une vie de bagarre qui s’ouvre positivement sur une carrière aux États-Unis.

Le choix de la liberté, le choix d’une vie sans concession, même à celui qu’elle aime réellement.

Mawdo Bâ, lui, tournera mal.

Car la leçon d’Aïssatou n’est pas seulement celle d’une femme qui résiste aux travers d’une tradition qui, à son regard, l’a avilit elle mais aussi sa jeune rivale, mouton sacrifié sur l’hôtel de l’ambition de sa belle-mère.

Non, la leçon d’Aïssatou, c’est aussi celle de la faiblesse d’un homme qui laisse s’échapper celle qu’il aime et qui, en choisissant de baisser les armes face à sa mère, s’est choisi une mort lente et douloureuse, par absorption quotidiennes de couleuvres cyanurées.

Le choix de Mawdo Bâ n’était pas celui de l’amour. « Et parce que sa mère avait pris date pour la nuit nuptiale, Mawdo eut enfin le courage de te dire ce que chaque femme chuchotait : tu avais une coépouse.

"Ma mère est vieille.

Les chocs de la vie et les déceptions ont rendu son cœur fragile.

Si je méprise cette enfant, elle mourra. C’est le médecin qui parle, non le fils.

Pense donc, la fille de son frère, élevée par ses soins, rejetée par son fils.

Quelle honte devant la société !" » 2) SEPARATION DUE PAR MORT Suite à la disparition brutale de son époux Modou Fall, la narratrice adresse une lettre à AÏSSATOU, pour lui annoncer la mauvaise nouvelle et lui raconter les circonstances de la mort de Son mari et les cérémonies funéraires.

C’est l’occasion pour elle de se rappeler des scènes de Leur vie passée, mélange de souvenirs heureux et malheureux (enfance, études à l’école Élémentaire, fiançailles, mariages, bonheur des jeunes couples, second mariage des époux, Déceptions, abandon et combats quotidiens pour faire face). Ramatoulaye adresse à son ami : « le destin empoigne qui il veut quand il veut » Dans le sens de nos désire, il nous apporte plénitude.

Mais le plus souvent il déséquilibre est heurte.

Alors, on subit.

J’ai subit le coup de téléphone qui a bouleversé ma vie, ma gorge cesse ; dans ma poitrine une boule immobile a l’hôpital, un couloire qui s’étire et qui n’a fini par de s’étirer au bout, une chambre dans la chambre un lit sur se lit Modou étendu déjà isolé du monde des vivants par un drap blanc qui l’enveloppe entièrement.

Je veux saisir sa main, mais on m’éloigne.

J’écoute des mots qui crées au tour de moi une atmosphère ou j’évolue étrangère et crucifiée.

La mort, passage tenu entre deux monde opposés, l’un tumultueux, l’autre immobile.  Modou, ami des jeunes et des vieux …  Modou cœur de lion et défenseur de l’opprimé …  Modou, aussi en l’aise dans un costume que dans un caftan …  Modou, bon frère, bon mari, bon musulman …  Que dieu lui pardonne  Qu’il regrette son séjour terrestre face à sa félicité céleste  Que la terre lui soit légère ! « Les siguil ndigalé » se succèdent, poignants, tandis que des expertes distribuent à l’assistance biscuits, bonbons, colas, judicieusement mêlés, premières offrandes vers les cieux pour le repos de l’âme disparu. Le récit qui prend fin en principe avec la fin de la réclusion se prolonge avec celui de sa vie quotidienne de veuve et de ses Problèmes et notamment le problème de l’éducation des enfants. Paradoxalement pour écrire pour sa lettre, et donc s’ouvrir à l’auteur.... »

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