lecture lineaire de l'acte III, scene 10 du Malade imaginaire intitulee:"Le poumon"
Publié le 17/04/2023
Extrait du document
«
OI3: “Le poumon”
Le Malade imaginaire est une œuvre théâtrale rédigée par Molière
en 1673.L’écrivain l’interprète pour la dernière fois le 17 février 1673 avant
son décès le jour même.
Il s’agit d’une comédie ballet dans laquelle le
dramaturge français critique les vices de la société du XVIIème siècle a
travers le rire.
D’ailleurs le texte soumis a notre étude est extrait de l’acte
III, scène 10 du Malade imaginaire.
Effectivement, argan un hypocondriaque
par excellence cherche a s’entoure de médecin a tout instant.il décide alors
de forcer sa fille a épouser un médecin pédant et ridicule, thomas Diafoirus.
Pour détourner de ses plans cruel et égoïste Toinette, la servante aidée de
Béralde, monte un plan afin d’empêcher l’hymen des d’Angélique a thomas
Diafoirus.
Toinette se déguise alors en médecin venant occulter le malade
imaginaire.
Dans quel mesure le comique se dévoile-t-il ainsi dans une scène
absurde et obscène ?/dans quel mesure le travestissement de Toinette
donne-t-il place a une scène comique ? L’analyse sera par la suite divisée
en deux mouvements : le premier s’intéressera au diagnostic parodique
énonce par Toinette : « donnez-moi … vous dis-je » (l1-34).
Le second
mouvement focalisera sur une fausse prescription adresse a argan « que
vous ordonne… » (l34-58).
Le premier mouvement s’ouvre sur Toinette, habiller en médecin,
cherchant a effrayer argan par le biais d’un diagnostic ironique.
En effet
cette dernière entame une examinations ridicule.
En témoigne la métonymie
« donnez-moi votre pouls » (l1) mettant en avant un ordre relater a
l’absurdité de son propos.
Ensuite le pouls est assimilé a la ligne 2 a un
tambour sur lequel on bat et alors au battement du cœur « que l’on batte
comme il faut »(l2).ici le verbe battre est sujet de polysemie dans le sens du
pouls de l’aggressivite et finalement de la mesure de l’orchestre militaire.
Ajoutons a cela la personnification du pouls a la ligne 3 : « ce pouls fait
l’impertinent » qui devient par les terme attribuer un être a part entière, un
être vivant qui bat de manière irregguliere.Toinette qui ne s’y connait pas en
médecine émet des incohérences provoquant le rire.
De plus,
l’adverbe « encore » (l4) met en exergue la vanité de Toinette plongée dans
le corps d’un médecin autrefois.
Assurément elle les imite ainsi que leur
caractère orgueilleux et pédant.
L’interrogation rhétorique « qui est votre
médecin » (l4-5) corrobore le jeu de médecin de la servante, elle se moque
de manière sous-entendue, des médecins du malade imaginaire.
La négation
absolue « ne…point » (l45) suggère que monsieur Purgon, le médecin
responsable de la sante de l’hypocondriaque est réduit aux tablettes des
médecins médiocre voire inferieur,toinette le discredite aux yeux d’argan.
Toutefois, Toinette se place au même niveau que les grands praticiens de
l’époque illustres par l’adjectif qualificatif épithète « grand » (l8).
Les
« tablettes » (l8) font référence au 10 commandements ce qui souligne que
le divin aurai place Toinette (déguisée) au-delà de tous les guérisseurs.
Puis,
le parallélisme au lignes 10-11 : « il dit que c’est du foie, d’autre disent que
c’est de la rate.» double de l’antithèse entre « il » et « d’autre » mettent en
avant un opposition de diagnostic donne par de multiple médecin, et par la
suite le pédantisme et l’ignorance de ces dernier ainsi que leur incapacité a
donner un diagnostic cohérent.
Mais aussi devoile le fait q’argan n’a pas
confiance en spn medecin,c’est pourquoi il en consulte d’autre .
C’est ensuite
que Toinette débute l’énonciation de son évaluation médicale.
D’ailleurs
l’adverbe indéfini « tous »(l12) insiste sur l’universalité de la médiocrité du
corps médicale d’autrefois .
Elle cherche alors a convaincre argan par cette
hyperbole que les médecins ne sont pas des guérisseurs et ne cherche pas
l’intérêt de leur patient.
Le substantif «ignorant »(l12) met en relief son
énonciation et son exagération puisque les médecins devrait au moins
connaitre quelque chose.
De plus , le presentatif « c’est » (l12) met en relief
le nouveau faux diagnostic de toinette (deguise en medecin).Les répliques
qui suivent sont des répliques courte et rapide.
Les stichomythies font
avancer la machine comique dans les pièces, celui-ci contrôlé par Toinette.
la lumières est ensuite braque sur le comique de répétions du
mot « poumon » tout au long de l’extrait proposer.
Il s’agit d’un diagnostic
absurde illogique et incohérent avec les maux que ressent argan.
Le poumon
devient alors responsable de tout le symptôme qu’émet le malade
imaginaire.
Toinette pose des question ordinaire a l’hypocondriaques qui
commence, a prendre peur et effroi a l’entente du constat de Toinette.
La
répétition de « oui, monsieur » témoigne d’une terreur chez argan qui monte
en crescendo.
La scène dévoile ainsi une mise en abyme bien réussie de la
part de Toinette et révèle la crédulité d’argan.
Le premier mouvement s’achève alors cédant la place au second mouvement
de la scène intitulé : « une fausse prescription ».
Assurément, le dernier mouvement se rapporte au, non-sens du traitement
propose par Toinette qui va a l’encontre de ceux donne par les autres
médecins.
La stichomythie émise par les 2 personnages corrobore la rapidité
de la scène.
En effet la répétition du substantif « ignorant » qui jalonne
l’extrait permet a Toinette de banaliser les prescription des autre medecins,
egalement absurde et ridicule : il’sagit en fait d’une énumération de
plusieurs animeaux et....
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