Le premier jour d'école (rédaction)

« D’après moi, une bonne institutrice doit posséder les qualités suivantes. -D’abord, elle doit être patiente avec les enfants, aimable et disponible à tout moment.

Puisque une institutrice sévère fait peur les enfants.

à part les parents, l’institutrice joue un rôle très important dans la vie des enfants qui leur apprend à parler poliment et à ecrire correctement.

Si elle n’est pas patiente, les enfants donc ne veulent pas lui poser des questions. -De plus, il est nécessaire pour une institutrice d’être pédagogue.

Parce que ce qui compte c’est le manière de traiter les enfants, à mon avis, le cours de psychologie doit être obligatoire pour des enseignants avant qu’ils entrent dans la vie active, et grâce auquel, l’institutrice pourrait être compréhensive quand les enfants font des erreurs. -troisièmement, il vaut mieux être bien éduqué et sensé.

Cela permet des enfants d’apprendre plus de choses que celles sur les livres. -quatrièmement, sévère mais juste, c’est une qualité indispensable d’être une institutrice.

Peut-on imaginer que dans une classe, il y a plus de 30 enfants de 6 ans ou 7ans, c’est une catastrophe.

On fait trop de bruit, et l’institutrice doit être assez sévère pour maintenir l’ordre de la classe. -cinquièmement, elle ose de sortir des sentiers battus, à savoir prendre des risques en changeant ses habitudes des enseignements. -le dernier, elle doit être capable de susciter la curiosité des enfants, et alimenter la soif de découverte On dit qu’il est trop dur pour une institutrice d’avoir tous les qualités, puisqu’elle ne gagne pas beaucoup.

Avons nous le droit de leur demander de travailler comme ça ? Mais comme la plupart d’écoles appartiennent à l’Etat, le gouvernement doit prendre les mesures pour dénouer la situation, parce que le premier jour d’école ou plutôt l’education primaire est déterminante. Malheureusement, mon premier jour d’école me fait mécontent, le cours sans interaction est ennuyeux.

Notre institutrice était indifferente et nous grondait souvent.

Tout le monde l’obeissait mais personne ne l’aimait pas.

Pendant presque deux ans, On n’osait pas parler avec elle, et on avait l’habitude de cacher ce que nous ne comprenions pas.

Et comme ça, la situation devenait de plus en plus pire, mais à ce moment-là, comment j’osais résister, je n’ai plus qu’à tout accepter.

Et pour elle, mon institutrice, ce qui lui manque c’est une passion de l’enseignement et l’amour pour des enfants. 00939086 Joséphine. »