Histoire des arts:Le chant des partisants
Publié le 16/12/2014
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« bombes. Les Français ont peur de l’occupant Allemand. « Pays qu’on encha îne » : la France souffre d’ être esclave de l’occupant Allemand. Les paroles du Chant des Partisans ne citent jamais les Allemands, tout n’est qu’allusion, symbole, sousentendus, mais, dans le contexte de l’ époque tout le monde sait de qui on parle « Oh é partisans, ouvriers, paysans » : c’est la France profonde, rurale, industrielle qui est interpell ée, la France secr ète compos ée de combattants volontaires, pr êts à défendre leur libert é. « alarme » : alerte, il faut r éagir, il y a urgence. « ce soir » : la France va r éagir vite, maintenant ! « conna îtra le prix du sang et des larmes » : Vengeance ! Les Allemands vont payer pour le mal qu’ils ont fait à la France. Cette strophe constitue l’appel d’une Nation à se r éveiller face à l’Ennemi. Apr ès la peur et la douleur c’est l’espoir qui pr édomine. Strophe 2 : Montez de la mine, descendez des collines, camarades, Sortez de la paille les fusils, la mitraille, les grenades. Oh é ! Les tueurs à la balle et au couteau tuez vite ! Oh é ! Saboteurs attention à ton fardeau… dynamite… Les mots «mine » et « collines » à la ligne 5 montrent la France laborieuse, celle de l’industrie et de la campagne qui se soul ève le mot « camarades » à la ligne 1 également signifie la connotation communiste de gauche « sortez de la paille… » À la ligne 6 parle de la France rurale qui est toujours pr ête à d éfendre sa libert é les mots « tueurs », « balle », « couteau », « saboteur », « dynamite » nous montrent que tous les moyens sont bons pour vaincre, l’essentiel est de tuer le plus d’ennemis possible Apr ès la souffrance et l’espoir dans la 1 è re strophe , c’est la haine et la violence qui va permettre de sauver la France de l’Occupation, il ne faut reculer devant rien. Il s’agit d’une vrai guerre men ée, non pas par des soldats, mais par des Partisans ayant soif de libert é. Strophe 3 : C’est nous qui brisons les barreaux des prisons pour nos fr ères. La haine à nos trousses et la faim qui nous pousse, la mis ère. Il y a des pays o ù les gens au creux des lits font des r êves. Ici, nous voistu, nous on marche et nous on tue, nous on cr ève… Les mots « briser », « barreaux », « prison » à la ligne 9 symbolisent la lib ération du pays, la fin de la r épression Le mot « fr ères » à la ligne 9 également montrent la fraternit é qui impose la d éfense des plus faibles du groupe Les mots « haine », « mis ère » à la ligne 10 signifient les moteurs et l’origine de la r ésistance Les mots « r êves » « marche », « tue », « cr ève »respectivement aux lignes 11 et 12 disent . »
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