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Commentaire de Guy de Maupassant "Histoire de fille de ferme"

Publié le 30/10/2013

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Commentaire sur « histoire d'une fille de ferme«       «Histoire d'une fille de ferme« est une nouvelle de Guy de Maupassant tirée du recueil La Maison Tellier parue en 1881. Il s'agit d'un récit plutôt naturaliste, qui dépeint les déboires sentimentaux d'une fille de ferme en brossant les traits de la société rurale à la fin du XIX e siècle. Dans l'extrait que nous proposons de commenter, Rose vient d'être demandée en mariage par son maître. Elle se retrouve face à un dilemme. Elle refuse cet engagement vis à vis de son maître car elle continue de vouloir protéger son enfant par le secret. C'est la nuit de réflexion laissée à Rose par le fermier qui fait l'objet de notre extrait . Pour cela nous allons comprendre comment Maupassant met en avant le délire et le retour au réalité de rose Nous verrons que dans cette extrait l'auteur reflète un récit quasi fantastique et ainsi met en avant le retour à la réalité irrésolue mais prosaïque       Tout d'abord,nous traiterons l'état psychologique de Rose, mais aussi la temporalité du délire et enfin l'omniprésence de la Nature et de la folie. Par ailleurs nous constatons que Rose «l’héroïne« a au début un comportement humain où tout commence psychologiquement avec l'angoisse , l'anéantissement. Cela est décrit avec l'utilisation de l'imparfait qui a pour valeur de description notamment «elle était anéantie« (V.438),«elle parvenait« (V.443),«restait« (V.438),«s'épouvantait« (V.444) et aussi par l'utilisation du passé simple qui a pour valeur d'action de 1er plan comme «se coucha« (V.436), «elle tomba« (V.436). Le commencement de l'angoisse est peinte par l'accumulation des actions de Rose et par l'utilisation du passé simple qui a pour valeur d'action de 1er plan notamment «elle tressaillit, se dressa, passa ses mains sur sa face, dans ses cheveux, se tâta le corps comme une folle« (V.455)et ainsi par le biais du champ lexical de l'angoisse notamment «sueurs d'angoisse« (V.449), «les cauchemars«(V.449). Dès que la «chandelle s'éteignit«(V.450), l'adverbe «alors« (V.450) marque le début du délire avec l'idée de s'enfuir et ainsi la répétition du mot délire montre le commencement de cela notamment (V.450) «commença le délire« et «ce délire fuyant les gens de la campagne«, la terreur est montré par la présence du champ lexical de la fuite comme «partir« (V.452), «s'échapper« (V.453), «courir« (V.453) D'autant que cette atmosphère est peu rassurante puisque rose dans son délire se retrouve dehors dans la nuit, dans l'obscurité pour seule repère et éclaircissement la lune. L'oxymore clair/obscur qui représente ici la lune/la nuit et ainsi la peur d'un goujat qui traîne notamment «pour n'être point vue par quelque goujat rôdeur« (V.459), peur d'être violée dénonce aussi l'ambiance peu rassurante. Cette lune reflète les ombres avec de l'ironie notamment «comme une énorme lanterne posée par terre à l'horizon« (V.481), l'auteur compare une plaine éclairée par la lune à une lanterne posée par terre mais aussi cela pour accentue sur l'obscurité du décor comme «son ombre démesurée« (V.465) ou encore «ses grandes oreilles dressées« (V.479). Le rythmes des phrases est irréguliers tout au long de l'extrait,notamment lorsque Rose est dans l'angoisse le temps s'écoule doucement et le rythme est lent comme le le (V.447) «la grosse horloge de la cuisine battait lentement les heures« et l'utilisation de l'imparfait qui a pour valeur ici de faire durer l'action souligne la lenteur de l'écoulement du temps contrairement au commencement du délire de Rose , le rythme des phrases sont rapides ainsi avec l'accumulation des actions et des verbes de fuite comme «partir« (V.452), «s'échapper« (V.453), «courir« (V.453).
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« (V.438),«s'épouvantait» (V.444) et aussi par l'utilisation du passé simple qui a pour valeur d'action de 1er plan comme «se coucha» (V.436), «elle tomba» (V.436).

Le commencement de l'angoisse est peinte par l'accumulation des actions de Rose et par l'utilisation du passé simple qui a pour valeur d'action de 1er plan notamment «elle tressaillit, se dressa, passa ses mains sur sa face, dans ses cheveux, se tâta le corps comme une folle» (V.455)et ainsi par le biais du champ lexical de l'angoisse notamment «sueurs d'angoisse» (V.449), «les cauchemars»(V.449).

Dès que la «chandelle s'éteignit»(V.450), l'adverbe «alors» (V.450) marque le début du délire avec l'idée de s'enfuir et ainsi la répétition du mot délire montre le commencement de cela notamment (V.450) «commença le délire» et «ce délire fuyant les gens de la campagne», la terreur est montré par la présence du champ lexical de la fuite comme «partir» (V.452), «s'échapper» (V.453), «courir» (V.453) D'autant que cette atmosphère est peu rassurante puisque rose dans son délire se retrouve dehors dans la nuit, dans l'obscurité pour seule repère et éclaircissement la lune.

L'oxymore clair/obscur qui représente ici la lune/la nuit et ainsi la peur d'un goujat qui traîne notamment «pour n'être point vue par quelque goujat rôdeur» (V.459), peur d'être violée dénonce aussi l'ambiance peu rassurante.

Cette lune reflète les ombres avec de l'ironie notamment «comme une énorme lanterne posée par terre à l'horizon» (V.481), l'auteur compare une plaine éclairée par la lune à une lanterne posée par terre mais aussi cela pour accentue sur l'obscurité du décor comme «son ombre démesurée» (V.465) ou encore «ses grandes oreilles dressées» (V.479).

Le rythmes des phrases est irréguliers tout au long de l'extrait,notamment lorsque Rose est dans l'angoisse le temps s'écoule doucement et le rythme est lent comme le le (V.447) «la grosse horloge de la cuisine battait lentement les heures» et l'utilisation de l'imparfait qui a pour valeur ici de faire durer l'action souligne la lenteur de l'écoulement du temps contrairement au commencement du délire de Rose , le rythme des phrases sont rapides ainsi avec l'accumulation des actions et des verbes de fuite comme «partir» (V.452), «s'échapper» (V.453), «courir» (V.453). Particulièrement l'omniprésence de la Nature est mise en avant par les différents animaux rencontrée par Rose lors de son itinéraire.

Les animaux sont employés grâce au champ lexical de la faune comme «un oiseau de nuit» (V.467),«une chouette» (V.455) oiseaux qui survolent sur la tête de Rose tout au long de la nuit.

Les animaux qui contre attaquent sont «les chiens»(V.468) et «les lièvres»(V.473); les jeunes lièvres illustrent une. »

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