PHILIPPE-AUGUSTE : Ma couronne au plus brave !
Publié le 12/06/2011
Extrait du document

Si Philippe II Auguste (1180-1223) assoit la puissance capétienne en Europe de l’Ouest (victoire de Bouvines en 1214), Saint Louis (Louis IX) – 1226-1270 –,
par la durée de son règne et son rayonnement, est la figure emblématique de la civilisation brillante du monde féodal en Occident. Enfin, avec
Philippe IV le Bel (1285-1314), le principe de la royauté absolue servie par une administration centralisée prend corps. Sa lutte contre l’ordre des
Templiers, qu’il fait arrêter et mettre à mort (1307), est le signe que le monarque ne voulait pas d’un État dans l’État. Quant à Jean Ier Posthume, comme son nom l’indique, c’est un héritier mâle qui ne survivra que quelques jours
Au matin du 27 juillet 1214, Philippe-Auguste (1165-1223) s'adressa à ses troupes avant la bataille qu'elles allaient livrer à l'armée coalisée de l'empereur Othon et du comte de Flandre.
Liens utiles
- « Ma couronne au plus brave ! » PHILIPPE-AUGUSTE, en 1214. Commentez.
- ÈVE FUTURE (L’) de Philippe-Auguste Villiers de l'Isle-Adam (résumé)
- Le Louvre de Philippe Auguste
- Philippe II Auguste par Michel Nortier Conservateur à la Bibliothèque Nationale, Paris A
- Philippe II Auguste Fils de Louis VII et d'Adèle de Champagne, Philippe vient d'avoir quinze ans lorsqu'il monte sur le trône.