Otia corpus alunt, animus quoque pascitur illis
Publié le 13/02/2022
Extrait du document
«
Otia corpus alunt, animus quoque pascitur illis
Le repos entretient le corps, l'âme en profite aussi
Cette maxime provient des Epistulae ex Ponto d'Ovide ( 1, 4, 21 ), qui
précise qu'une tension excessive peut avoir raison et du corps et de
l'âme ; cette sentence est citée par plusieurs auteurs médiévaux
(cf.
par exemple le commentaire du Cantique des Cantiques de
Thomas de Vancelles [PL 206, 192a] ; les Flores Helinandi rassemblées par Vincent de Beauvais [PL 212, 753a] ; Po/ythecon, 9, 264) et
elle est répertoriée dans le recueil de Walther (20485).
Citons en grec
un passage du De liberis educandis de Plutarque (9c), qui utilise la
fot 1111.1le ~ àvarrauoL~ Twv TT.
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Mala mens malus animus
- Tempora mutantur, nos et mutamur in illis
- Réalisation d'un projet de constitution de corpus et de publication web
- Corpus de document (@collage_feminicides_paris )
- Mens assueta malis vix eripietur ab illis