Nec mora nec requies
Publié le 13/02/2022
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Nec mora nec requies
Ni relâche, ni répit
Cette expression est présente chez divers auteurs latins, tels Lucrèce
(4., 225) et Virgile (Enéide, 5, 458; 12, 548, Géorgiquel·, 3, 106);
après sa réutilisation par Ausone ( Cento n,,ptia/is, 23 sq.) ce motif
devint topique : parmi les attestations médiévales, citons celles
d'Engelmodus, Versus, PL 120, 25 ; de Jean de Saint-Arnoul de Metz,
Historia translationis S.
Glodesindis Metensis (Pl 137, 233b) e~ pour
les auteurs de l'époque moderne, celles de Pétrarque (Rerum familiarom libri, 2, 9, 17); J.
Sannazzaro (De partu virginis, 2, 106-108), La
Chanson de Walther (3, 1333) ; Scaliger (Poemata proprio., 1.
Epicedium in obitum lanii Densae F.); de Sœur Juana de la Cruz
(lnundacion Castalida.
Razon de la fahrica) et H.
Witte (Memoriae
phi/osophorom,.
446).
Mais ce sont rarement des allusions au texte de
Virgile, s'agissant simplement le plus souvent de la reprise d'une
expression devenue courante..
»
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