Mais les lois éternelles de la nature et de l'ordre existent... Elles sont écrites au fond de son coeur par la conscience et par la raison... Rousseau, Émile, livre V. Commentez cette citation.
Publié le 22/02/2012
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- "Les lois naturelles de la nature et de l'homme existent. Elles tiennent lieu de loi positive au sage; elles sont écrites au fond de son coeur par la conscience et par la raison; c'est à celles-là qu'il doit s'asservir pour être libre. Rousseau, Emile, Livre IV. Par Droit et Institution de la Nature, je n'entends autre chose que les règles de la nature de chaque individu, règles suivant lesquelles nous concevons chaque être comme déterminé à exister et à se comporter d'une certaine ma
- Rousseau " Conscience, conscience, conscience ! instinct divin, immortelle et céleste voix ; guide assuré d'un être ignorant et borné, mais intelligent et libre ; juge infaillible du bien et du mal, qui rend l'homme semblable à Dieu, c'est toi qui fais l'excellence de sa nature et la moralité de ses actions. " (Rousseau, Émile ou De l'éducation, 1762, livre IV, GF-Flammarion, 1966, p. 378). Commentez cette citation.
- Le principe fondamental de toute morale […] est que l'homme est un être naturellement bon, aimant la justice et l'ordre ; qu'il n'y a point de perversité originelle dans le coeur humain, et que les premiers mouvement de la nature sont toujours droits […]. Dans cet état [de nature] l'homme ne connaît que lui ; il ne voit opposé ni conforme à celui de personne ; il ne hait ni n'aime rien ; borné au seul instinct physique, [l'homme] est nul, il est bête : c'est ce que j'ai fait voir dans
- « Conscience ! conscience ! instinct divin, immortelle et céleste voix; guide assuré d'un être ignorant et borné, mais intelligent et libre; juge infaillible du bien et du mal, qui rends l'homme semblable à Dieu, c'est toi qui fais l'excellence de sa nature et la moralité de ses actions. » Rousseau, Émile ou De l'éducation, 1762. Commentez cette citation.
- « Il est [...] au fond des âmes un principe inné de justice et de vertu, sur lequel, malgré nos propres maximes, nous jugeons nos actions et celles d'autrui comme bonnes ou mauvaises, et c'est à ce principe que je donne le nom de conscience. » Rousseau, Émile ou De l'éducation, 1762. Commentez cette citation.