"Le plus fort n'est jamais assez fort pour être toujours le maître, s'il ne transforme sa force en droit et l'obéissance en devoir." Rousseau, Du Contrat Social. Commentez cette citation.
Publié le 02/03/2009
Extrait du document
La puissance dont chacun dispose pour affirmer ses droits est différente selon les hommes. Pour Rousseau, le plus fort à un moment de l'histoire n'est en aucun cas assuré de garder le pouvoir. C'est en soumettant la force à l'usage du droit que la paix civile peut être garantie. Mais il faut aussi que la loi se soumette au devoir qu'édicté la raison pour assurer la continuité du pouvoir. Autrement dit, la loi préserve la stabilité nécessaire à toute vie civile en soumettant la force au droit et l'action au devoir
Liens utiles
- Le plus fort n'est jamais assez fort pour être toujours le maître, s'il ne transforme sa force en droit et l'obéissance en devoir. Du contrat social (1762) Rousseau, Jean-Jacques. Commentez cette citation.
- Le plus fort n'est jamais assez fort pour être toujours le maître, s'il ne transforme sa force en droit et l'obéissance en devoir. [ Du contrat social (1762) ] Rousseau, Jean-Jacques. Commentez cette citation.
- LE DROIT ET L'OBÉISSANCE "Le plus fort n'est jamais assez fort pour être toujours le maître, s'il ne transforme sa force en droit et l'obéissance en devoir." Rousseau, Du Contrat Social I, 1768. Commentez cette citation.
- « Le plus fort n'est jamais assez fort pour être toujours le maître, s'il ne transforme sa force en droit, et l'obéissance en devoir. » Rousseau, Du contrat social, 1762. Commentez cette citation.
- « Le plus fort n'est jamais assez fort pour être toujours le maître, s'il ne transforme sa force en droit et l'obéissance en devoir. » Jean-Jacques Rousseau, Du contrat social