Le bon historien n’est d’aucun temps ni d’aucun pays. Quoiqu’il aime sa patrie, il ne la flatte jamais en rien.
Publié le 11/01/2019
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FÉNELON
1714
Le bon historien n’est d’aucun temps ni d’aucun pays. Quoiqu’il aime sa patrie, il ne la flatte jamais en rien.
L’Académie Française, s’interrogeant « sur les travaux qui devaient occuper la Compagnie après l’impression de son dictionnaire », Fénelon, qui était académicien depuis 1693 et jouissait de loisirs du fait de son exil
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- Fénelon écrit dans la« Lettre à l'Académie » :« Le bon historien n’est d’aucun temps ni d'aucun pays. Quoiqu’il aime sa patrie, il ne la flatte jamais en rien. L’historien français doit se rendre neutre entre la France et l’Angleterre.... » Expliquer et discuter cette théorie. Par ce que vous connaissez des historiens du XIXe siècle, vous direz si elle vous semble avoir été appliquée par eux et dans quelle mesure.
- Fénelon écrit dans la Lettre à l'Académie : Le bon historien n'est d'aucun temps ni d'aucun pays. Quoiqu'il aime sa patrie, il ne la flatte jamais en rien. L'historien français doit se rendre neutre entre la France et l'Angleterre...
- FÉNELON : Le bon historien n'est d'aucun temps ni d'aucun pays. Quoiqu'il aime sa patrie, il ne la flatte jamais en rien. Commentaire.
- Le bon historien n'est d'aucun temps ni d'aucun pays: quoiqu'il aime sa patrie il ne la flatte jamais en rien. Fénelon, Lettre à D'Acier. Commentez cette citation.
- Le bon historien n'est il d'aucun temps ni d'aucun pays ?