« La littérature ne permet pas de marcher, mais elle permet de respirer » Roland Barthes
Publié le 16/08/2012
Extrait du document
Notre problématique n’est pas une fatalité, des accommodements existent entre ces deux thèses. En effet, ce n’est pas le manque d’utilité pour la littérature qui l’anéantira, celle-ci vivra toujours grâce à ses adeptes ; voire même : l’homme, s’il ne se soucie pas du rôle qu’il joue dans l’existence ne rate rien en se désintéressant des belles-lettres La littérature n’a rien d’essentiel et son utilité est restreinte, nous l’avons déjà énoncé. Ceci ne la met pas en danger pour autant, chaque point d’intérêt possède son importance, il existe des amateurs dans n’importe quelle matière ou discipline. Certes, si cette carence croît d’avantage, le nombre de détracteurs des belles-lettres risque fort d’augmenter mais il existera toujours des friands de travail de la forme dans l’écriture. Pour ceux-ci, la littérature continuera d’être essentielle, vitale et fondamentale. De plus, ses objectifs ou le rôle qu’elle remplit ne changeront pas, ils resteront intacts.
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