J’aurais la main pleine de vérités que je ne l’ouvrirais pas pour le peuple.
Publié le 12/01/2019
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FONTENELLE
vers 1740
J’aurais la main pleine de vérités que je ne l’ouvrirais pas pour le peuple.
Un de ses amis lui disant qu’il avait pris le parti de tout contredire parce qu’il trouvait des raisons contre tout, Fontenelle (1657-1757) répliqua
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