Il faut de la poudre à nos perruques ; voilà pourquoi tant de pauvres n'ont pas de pain. Jean-Jacques Rousseau
Publié le 22/02/2012
Extrait du document
Cette formule un peu provocante, et bien dans la manière de Rousseau, figure dans une note de la « Dernière réponse de J.-J. Rousseau, de Genève »(1752). Il s'agit de l'une des réponses suscitées par les objections qui ont suivi le retentissant succès du Discours sur les sciences et les arts (1750).
Cette réponse paraît en avril 1752, à la suite du Discours sur les avantages des sciences et des arts de Charles Bordes. Comme son titre l'indique assez, le livre de Bordes était une réfutation du discours de Rousseau. L'éditeur avait complété cette réfutation par la réplique de Rousseau.
Liens utiles
- Il faut de la poudre à nos perruques ; voilà pourquoi tant de pauvres n’ont pas de pain. Jean-Jacques Rousseau
- La feinte charité du riche n'est en lui qu'un luxe de plus; il nourrit les pauvres comme des chiens et des chevaux. Correspondance, à M. Moulton Rousseau, Jean-Jacques. Commentez cette citation.
- La critique est une chose bien commode: on attaque avec un mot, il faut des pages pour se défendre. Rousseau, Jean-Jacques. Commentez cette citation.
- l'espèce de bonheur qu'il me faut, ce n'est pas tant de faire ce que je veux que de ne pas faire ce que je ne veux pas. Correspondance, à M. de Malesherbes Rousseau, Jean-Jacques. Commentez cette citation.
- Il ne faut point refuser pour refuser, mais pour faire valoir ce qu'on accorde. Rousseau, Jean-Jacques. Commentez cette citation.