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« Il est préférable d'être ailleurs lorsqu'autre part n'est plus ici. » Pierre Dac

Publié le 17/01/2022

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                Les médias ont tous un point commun : leurs sujets. Dans l’actualité, nous entendons  souvent les mêmes évènements se produire car ceux-ci sont inévitables. Les publicités, les promos, les films, tout nous pousse à rêver d’une vie meilleure. Il ne faut pas se leurrer, notre quotidien est basé sur l’envie d’aller autre part, de voyager, de s’évader de son nid, de ses pensées, et donc, basé sur la liberté. Pourquoi ? Pour vivre d’autres aventures ailleurs, où l’on se sent mieux mais surtout y rester. Ces différents éléments sont un bien qui régule notre état d’esprit lorsque la situation économique, politique, voir même, sociale du pays est difficile. Nous avons besoin de changement ! Qu’il soit radical ou non. Dans ce travail, nous constaterons, grâce à des statistiques dues à des enquêtes, que bon nombre de personnes ressentent le besoin ou sont obligées de partir de leur lieu de vie. 

« atteignit la barre des 23/100000 habitants.

On remarque d’autant plus, que ce sont majoritairement les hommes (de plus de 60 ans) qui se suicident avec un taux de 1450 contre 556 chez les femmes.

Ne cachons pas que le suicide concerne les personnes de tout âge et de tout pays.

D’ailleurs, le lundi 17 janvier 2011, nous avons pu entendre parler de cette petite fille, âgée de 9 ans, se suicidant en se jetant du 5 ème étage de l’appartement familial, car elle était diabétique et s’était disputée avec sa nounou à se sujet.

Le suicide permet donc aux gens par exemple att eint de maladies, soignables mais mortelles, d’abréger leurs souffrances, car, en Belgique, l’euthanasie est interdite.

L’amour peut aussi donner pour conséquence cet acte horrible.

Quand la présence de la famille, des amis ne suffisent plus, la chute est inévitable…Beaucoup de choses font que les gens abandonnent après un lourd combat.

Et le besoin de se libérer de cette bataille affaiblissante est plus que ressentit.

Le suicide peut provenir également d'une régulation sociale excessive: une discipline ext rêmement rigoureuse peut conduire au suicide lorsque les normes sociales étouffent les libertés individuelles.

Un manque de régulation conduit au suicide anomique qui, selon Durkheim, constitue la forme de suicide la plus répandue dans les sociétés moderne s: les changements sociaux rapides ont pour principal effet de frapper d'obsolescence les normes de conduite qui prévalaient antérieurement sans que les nouvelles apparaissent clairement.

Dans ce contexte, la société ne canalise plus les pulsions individue lles, qui demeurent sans limites.

C'est la raison pour laquelle les suicides progressent en situation de crise mais aussi dans les périodes de forte croissance économique, puisque les mutations engendrées sont porteuses d'instabilité sociale.

L'intuition de Durkheim selon laquelle le suicide constitue bel et bien un phénomène social a été prolongée par de nombreux sociologues.

Enfin, le cas des gens du voyage, qui eux, sont l’objet du rejet de la société, mais qui sont libres par rapport au code de notre société.

Ils sont nomades, voyagent sans arrêt.

A vrai dire, ils sont obligés de suivre leur communauté, c’est leur principe de mode de vie.

Les gitans sont entre 12000 et 15000 dans notre pays.

Cet été, n ous avons pu voir à travers les médias, cet évènement, datant donc du 28 juillet 2010, où 750 gitans prenaient place à Dour.

Ils y ont été installés pour ensuite être expulsés.

Ils ne sont pas intégrés, et doivent suivre nos normes.

D’un certain angle, les gens du voyage sont une communa uté libre, libre d’aller où bon lui semble mais aussi où l’on veut bien d’eux.

En opposition avec ce qui a été dit précédemment, les xénophobes eux ne quittent en aucun cas leur terre, leur maison.

La peur de l’étranger, de l’ailleurs est o mniprésente chez ces individus, ils n’ont connaissance d’aucune culture étrangère, d’aucune personne étrangère, ils ne voyagent jamais.

La comparaison avec les racistes et les antisémites est flagrante.

Ce genre de personnes préfère nt, et de loin, le st atut quo ! Les agressions dus à c ette forme de discrimination sont aujourd’hui devenus réguliers : Un Français d’origine gabonaise de cinquante ans est dans le coma après avoir été lynché dans la soirée du 6 mai dernier. »

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