De tout les luxes, la culture est celui qui est le moins réservé à l'argent, le plus propre à nier et à transcender toute hiérarchie sociale. Jacqueline de Romilly
Publié le 18/08/2012
Extrait du document
Certes, aujourd'hui, l'accès à la culture est discutable. Cependant, pendant le Renaissance, il n'y avait pas lieu d'avoir un tel débat. En effet, seuls les clercs et les nobles pouvaient se permettre d'apprendre à lire et à écrire. La culture étant, à cette époque, synonyme de voyage, il n'y avait que les plus riches et les personnes mandatées par l'Eglise qui pouvaient partir dans des contrées autres que celle d'origine. Un des exemples les plus flagrants et celui de François Rabelais. Cet ancien moine partit étudier la médecine. Pour ce, il voyagea en Italie et dans toutes les grandes villes de France dont Montpellier ou il obtint son doctorat. Durant la Renaissance, il n'y avait qu'une toute petite part de la population qui avait accès à la culture.
Liens utiles
- « De tous les luxes, la culture est celui qui est le moins réservé à l'argent, le plus propre à nier et transcender toute hiérarchie sociale. » Jacqueline de Romilly, philologue française, membre de l'Académie française.
- « De tous les luxes, la culture est celui qui est le moins réservé à l’argent, le plus propre à nier et transcender toute hiérarchie sociale. » Jacqueline de Romilly (1913), philologue française, membre de l’Académie française
- « de tous les luxes, la culture est le moins réservé à l'argent, le plus propre à nier toute hiérarchie sociale » J. de Romilly
- Diderot reprochait aux moralistes du XVIIe siècle d'être tous «pénétrés du plus profond mépris pour l'espèce humaine». Un critique contemporain précise et nuance cette accusation : «Dans cette peinture de l'homme, peut-être nos écrivains (classiques) ne manifestent-ils pas le même équilibre qu'ailleurs. Entre l'optimisme et le pessimisme, ils penchent fortement du second côté. L'augusti-nisme qui imprègne la culture du temps les a fortement marqués. La dénonciation de l'amour-propre, p
- La culture générale Jacqueline de ROMILLY