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Publié le 30/10/2012

Extrait du document

T'as changé, t'es plus l'même, j'te reconnais plus. T'as plus rien dans les yeux, plus de joie de vivre, plus d'étincelles... Mais merde, mais c'est ma faute ? C'est quoi, dis-moi. Qu'est-ce qui a fait que du jour au lendemain t'es devenu quelqu'un d'autre ? Fini les « je t'aime «, les paroles d'amour dans le crue de l'oreille, fini aussi les petites attentions, l'envie d'être constamment avec moi, fini l'amour c'est ça ? Dans ce cas là dis le moi. Ce sera clair et net, ça ne flottera plus dans l'air comme si c'était à moi de te l'arracher de la bouche. J'ai cherché à comprendre, t'es resté fermé comme une huitre. Et moi, ça me ronge, ça me détruis. Je te vois, t'es là, physiquement présent avec moi, mais tellement loin à la fois. T'es resté insensible à mes paroles, à mes actes, moi j'peux plus rien faire, peu à peu j'perds pieds. Si tu ne m'aimes plus, que tu ne te vois pas finir ta vie à mes cotés, j'aurai mal, mais je saurai. Quoi de plus terrible que de ne rien savoir ? Se sentir spectatrice de sa propre chute ? Nous les filles : on se brosse les dents en courant partout dans la maison, on lit la notice du shampoing sous la douche, on rit de nos blagues avant de les avoir racontées, on peut relire une phrase 10x sans l'avoir compris, on pousse sur les portes où il est marqué en gras "Tirer" pour les ouvrir, on dit souvent "quoi ?" alors qu'on a tout compris, on déteste quand le vent souffle dans nos cheveux, on regarde 10x dans notre frigo sans rien manger, on doit appeler sur notre portable pour le retrouver, on peut regarder une horloge sans même savoir après l'heure qu'il est, on peut aller au supermarché sans plus savoir quoi acheter, on retourne nos coussins pour avoir le côté froid, on retarde notre alarme pour pouvoir dormir plus longtemps, quand on va se coucher on compte combien d'heures il nous reste à dormir... :)C'est fini, il ne reviendra pas. C'est trop tard. Il a fini de jouer, fini de faire semblant. Cela ne lui apporte plus rien. Tout s'est arrêté il y a bien longtemps, alors abstiens toi, abstiens toi de croire que c'est encore possible. Il n'a plus envie de s'amuser avec toi, de te dire de fausses belles promesses, il s'est lassé, tu comprends? Tu peux rien contre ça, tu peux rien contre le temps qui passe. Alors pars, vas t'en, vas vivre ta vie. Tu es jeune, pourquoi tu restes accrochée à lui ? C'est fini, le cinéma est terminé. Tu n'avais pas d'importance à ses yeux. Crois moi, c'est vrai, je te dis pas ça pour que tu l'oublies, je veux juste te faire comprendre que toute cette histoire tu l'as mal interprétée. Il s'en est rendu compte et il est parti. C'est fini, il s'en fiche de ton état, s'en fiche de ce que tu ressens. Il est heureux sans toi, et puis oublie ses regards, ça ne signifie rien. Il ne demande de tes nouvelles à personnes, tu vois, il s'en fiche de savoir si tu vis bien avec son absence. Lâche prise, tu te tues pour rien, pour quelqu'un qui a joué avec toi. J'aurais compris si il avait été sincère, mais tout ce que tu as vécu avec lui, c'était faux, c'était calculé. Je sais que tu aurais voulu que je te dise autre chose, mais je ne peux pas, je ne peux pas te donner de l'espoir là où y'en a pas. Apprends à vivre sans lui, et tu seras mieux, je te le promets. Je sais qu'il me quittera un jour. Mon amour ne lui suffira plus, il sera lassé, ennuyé. Je passerai des soirées entières à me demander pourquoi je ne lui ai pas suffit. je devrais me faire à l'idée que je ne suis en rien celle qu'il recherchait,. Je m'en voudrais d'y avoir cru, d'avoir tout donné, de m'être investie à fond. Jamais je n'accepterai sa demande, si un jour, il décide de le faire, je n'ai pas le coeur assez solide, je ne supporterai pas de le perdre. Notre amour ne durera pas, il fanera comme fanent les roses.L'attente. L'attente d'un message de sa part comme un chômeur attend le travail, comme un enfant attend la sonnerie de la fin des cours. Se lever un matin et attendre. Attendre toute la journée. On passe des journées à attendre, moi je l'attendais. J'attendais qu'il demande de mes nouvelles. J'attendais ne serait-ce qu'un peu d'attention depuis notre dernière dispute. L'attente paie. J'ai reçu de ses nouvelles. Parfois il faut être capable de s'éloigner, de prendre du recul, de partir longtemps, pour comprendre certaines choses. Il suffit parfois d'une distance et du temps pour enfin voir clair et réaliser qui sera toujours là pour toi et sur qui tu ne peux pas compter. Qui est important et qui ne l'est pas....

« On peut être entour é de gens merveilleux comme d'hypocrites. Sache qu'il y aura toujours des gens pour t'emp êcher de faire ce   que tu as envie, ils seront toujours l à pour te poignarder. Mais ne les  écoute pas, tu es formidable, tu n'as pas besoin d'eux pour   r éussir. Ce qu'ils disent ne vaut pas ce que tu es. Tu es la personne la plus forte que j'ai rencontr ée, sinon tu n'en seras pas l à   aujourd'hui. Ne te sous­estime pas, regarde­toi, tu es magnifique, ne baisse jamais les bras, tu entends ? :)  Je voudrais te voir mal. Je voudrais te voir pleurer autant que moi j'ai pleur é pour toi. Je voudrais savoir que tu n'es rien sans moi,   parce que moi, tu vois, sans toi, je ne suis rien. Je voudrais te manquer. Je voudrais que tu me racontes ta vie. Je voudrais que tu   me parles tout le temps. Je voudrais, que tu aies envie de tout plaquer pour venir me rejoindre. Je voudrais que tu m'aimes, un   peu, rien qu'un peu, mais que tu m'aimes vraiment. Je voudrais  être la seule. Je voudrais que tu cr èves si je n' étais plus l à. Je   voudrais que tu sois l à, quand je pleure. Je voudrais que tu tiennes ma main. Je voudrais que tu me dises que je suis la plus belle.

  Je voudrais que tu penses  à moi. Je voudrais que tu me racontes tes joies, tes peines. Tes craintes et tes d ésirs. Je voudrais  être   l' élue de ton cœur. Je voudrais conna ître ta famille. Je voudrais que tu parles de moi  à tes amis. Je voudrais  être celle que tu   aimerais comme tu n'as jamais aim é.  J'me rappelle de ces jours o ù dès que je me r éveillais, je souriais. Je souriais  à la vie. Tu sais pourquoi ? Parce que tu m'aimais. Et   pour moi, c' était la plus belle chose qu'il puisse m'arriver. Et c'est toujours la plus belle chose qui puisse m'arriver aujourd'hui. Que   tu m'aimes. A nouveau. Comme avant. Mais genre sinc èrement. Comme pendant ces jours o ù tu faisais de moi leptus heureux du   monde. O ù tu me prouvais ton amour qui paraissait si sinc ère, tous les jours,  à travers chaque heure, chaque minute et chaque   seconde de la journ ée. Chaque jour, on s'aimait davantage. Tout simplement parce que tu  étais accro  à moi, autant que moi le je   suis  à toi. J' étais ton addiction. Tu  étais (et es toujours) mon addiction. Je donnerais tout pour  être  à nouveau "Ton Amour", et je   voudrais tellement pouvoir t'appeler  à nouveau "Mon Cœur". Avoue, c' était beau. J'ai gard é tous les messages magnifiques que tu   m'envoyais sans cesse. Je me sentais bien et heureux. C' était parfait. Tu m'as habitu é à la perfection et me prouvais chaque jour   que tu  étais une bonne personne, et pourtant par la suite tu m'as d éçue. T'imagines m ême pas comme l'ancien toi me manque,   t'imagines m ême pas comme  ça m'a fait et me fait toujours mal que tu m'abandonnes comme  ça, t'imagines m ême pas  à quel   point le manque de ces jours m'envahit. Pourquoi a­t­il fallut que tu g âches tout ? J'ai envie de te dire que j'ai souffert de tout  ça, j'ai envie de te le gueuler m ême, mais apr ès ça je n'aurais plus envie de rien, cette   douleur, elle reste et restera, je n'en peux plus, s'il te pla ît ne m'oublie pas, je t'en prie, je te jure, que toi, tu seras le seul en moi.

  Comprends­moi, m ême si tu ne peux pas, essaie, je t'en prie, pour moi, j'ai mal. J'ai envie de te prendre dans mes bras jusqu' à   sentir ton cœur battre au rythme du mien, jusqu' à ce qu'on soit les deux survivants de ce putain de monde qui ne vaut rien, je t'en   prie, ne m'en veux pas, tu  étais tout pour moi, on ne peut pas partir comme  ça. Je te revoie, toi et ta guitare, sur ce muret,   chantonnant notre chanson, moi dans un coin qui te regardait sans faire de bruit, pour ne pas me faire surprendre, juste pour   rester entendre le son de ta voix sur cette m élodie, j'aurais voulu que cela dure une  éternit é. Tu sais, ce muret, o ù, lorsqu'on s'y   asseyait on y voyait tout Paris, cette superbe vue, qu'on regardait ensemble, avant, avant tout, avant que nos vies ne s'en m êlent.

  J'ai envie de recommencer, j'ai envie de tous revivre, m ême le pire, je m'en fous maintenant, tout s'en va, tout part en vrille, je te   jure, je n'en sortirais pas vivante de tout  ça, j'ai envie, mais je ne peux pas, comprends­moi, s'il te pla ît, comprends­moi. Je ne   peux pas, c'est plus fort que moi, je t'en prie, comprends­moi. L'amour. Pourquoi ce mot est­il si compliqu é ? Moi, personne ne m'aime. Les gens me plaignent en me disant que c'est bien triste   de vivre sa vie seule. Mais pourtant, je le vis tr ès bien. Oui, j'ai d éjà connu l'amour. Et je peux vous assurer que ce n'est pas le   plus beau sentiment au monde, loin de l à. L'amour,  ça fait pleurer. Ca donne envie de crever. On vit au d épend d'un autre.

  Toujours avec cette amertume de jalousie dans l'air. On a peur de perdre notre  être cher. Toujours peur qu'il disparaisse pour ne   plus revenir. Se sentir abandonn ée, d élaiss ée. Le pire des sentiments je dois dire. Oui, j'ai d éjà connu tout  ça. Et c'est pourquoi je   pr éfère être seule. On se sent lib éré. On n'a pas peur d' être jug ée. Mais surtout, on peut respirer. Ch éri(e), on va jouer  à un jeu. Tu vois on va s'aimer comme des dingues, je vais te dire que je t'aime, au moins une bonne   cinquantaine de fois par jour. On va passer nos matins ensemble, nous d éjeunerons ensemble, nous prom ènerons main dans la   main, pendant des heures et des heures, jusqu' à ce que nous tombions raide sur la terre ferme. On s'embrassera sur les bancs de   Central Park jusqu'au coucher du soleil, jusqu' à que le ciel nous tombe sur la t ête. La nuit sera longue, on parlera de nos projets,   on choisira la destination de nos noces, le nom de nos futurs enfants. Le lendemain nous nous r éveillerons dans les bras l'un de   l'autre, d ès l'aube nos rires r ésonneront chez les voisins, oui, on rigolera  à nous en d écrocher la m âchoire et  à en avoir des   crampes au ventre. Nous enfilerons un jean et un t­shirt trouv és sur le sol, ou au coin du lit et nous partirons explorer le monde.

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