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Publié le 10/01/2013

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On t'apprendra qu'écrire n'est pas la solution. Que tu ne peux pas toujours te réfugier là dedans. Parfois il faut parler, parfois il faut se taire. Sans doutes, trouves-tu plus facilement les mots ainsi ; c'est évident. Jamais tu n'essayes de t'exprimer en paroles. Essayes un jour, peut-être que cela te ferait du bien, qui sait ? Connaissez-vous ces gens que l'on admire ? Ces gens qui sont un modèle. Ces gens sans qui on ne serait pas exactement la même personne. Ces gens qui vous protègent et qui en même temps, vous appellent au secours. Ces gens avec qui vous vous battez contre le monde entier. Ces gens dont vous auriez aimé vivre la vie juste pour voir comment c'est. Ces gens que l'on aime véritablement, de l'adoration à l'état pur. Ils trouvent toujours les mots que vous n'auriez pas su prononcer, la manière dont il aurait fallu l'annoncer. Ces gens dont on a l'impression qu'ils sont si forts que jamais ils ne tomberont. Ces gens qui, du plus loin que remonte votre mémoire, ont toujours été là. Vous savez, ces gens qui finalement sont des êtres normaux mais qui, à vos yeux, sont des supers héros. Ces gens qui souffrent, ont des faiblesses, pleurent comme tout le monde, mais pour vous ils sourient. Ces gens avec qui vous avez tout partagé : les bons comme les mauvais moments. Ces personnes avec qui lorsque vous échangez un regard, tout ces souvenirs sont présents dans l'air. Ces gens que vous aimerez toujours, où qu'ils soient et quoi qu'ls fassent. Ces gens que vous protégez comme ils vous protègent. Merci pour ces moments passés à vos côtés. Le bonheur tient à peu de choses. Être heureux n'est pas si difficile quand on le veut. Un beau paysage, un sourire, un message, une longue conversation, une ballade en été, une photo, une musique jouée, des paroles bien trouvées, des amis précieux.. De ce côté là, le bonheur c'est simple. Encore faut-il s'en contenter. On ne se rends pas compte tout de suite que l'on était heureux. C'est lorsqu'il arrive quelque chose de désagréable qu'on se dit que finalement avant, c'était pas plus mal. Et si. Et si plus rien n'avait d'importance. Et si on oubliait tout. Et si on recommençait à zéro. Ou alors si on partait, sans rien, main contre main le long de la route. Et si la musique était notre vie. Notre oxygène, notre bouffée d'air. Et si tout les soucis s'envolaient. Les problèmes et les rancoeurs. Si on bannissait les regrets. Et si on remontait le temps cette fois pour profiter de chaque instant, chaque personne. Et si les contretemps n'existaient plus. Et si on pouvait voir tout ce qu'il y a à voir. Si tout le monde pouvait être heureux. Et si tout le monde voyait que la vie est réellement belle. Et si les cons s'évaporaient. Et si le bonheur signifiait quelque chose de simple, mais de magnifique. Et si je pouvais y être. Et si profiter était notre moteur, encore plus. Et si on avait les moyens de réaliser nos rêves. Si tu savais comme les jours sont durs sans toi. La vie n'est plus la même. Le gouffre au fond de mon coeur se creuse encore et encore. Chaque partie de mon coeur et de mon esprit sont en manque de toi. De ta voix. De tes mots. De tes yeux reflettants la vie.. De ton visage reflettant la douceur. Je l'ai dans ma tête ce visage. Mes yeux se décomposent afin de former une goutte d'eau de la taille d'un océan. Cette goutte tombe avant de glisser sur mes joues et de mourir sur ma peau. C'est ainsi mon quotidien. Je n'en peux plus sans toi. Peut-être de ne plus vouloir souffrir, j'ai décidé de te fermer mon coeur. Fermé aux autres peut-être autant qu'à moi même.. Je ne sais plus à qui faire confiance. La vie, l'amitié et même l'amour sont un peu comme une maison. Certains y entrent, d'autres y sortent. Alors toi, quand tu partiras, je te demande de claquer la porte bien fort. Je voudrais l'entendre et te courir après, te rattraper. Promets moi.. Hein ? Tu la claqueras la porte?Aussi fort que tu peux s'il te plait. Pour l'instant, j'attends que quelque chose me tombe dessus. Quoi ? Je ne sais pas. Et puis qu'est-ce que je ferais, hein?Qu'est-ce que je pourrais bien dire ? Je ne sais pas. On écrit sa vie jour après jour. Une vie dont on est acteur et spectateur. On écrit son destin minutes après minutes. Et ces mots, à quoi ils serviront au fond ? La méchanceté et la cruauté des autres est tellement immense envers les autres. Comment arrivent-ils à se trouver un plaisir si subtil à faire du mal ? Je ne effondrerais pas, pas pour eux, pas comme ça. Rien n'est plus doux que le son d'une rupture. Il tinte à vos oreilles et se retourne , vous saluant de ses belles dents, il s'en va et vous laisse là. Par terre, envers et contre tous, n'ayant que vos yeux pour pleurer. Par terre, dans ces caniveaux dégueulasses d'une rue pavée où, fut un temps, vous viviez vos plus belles années. Cette rue qui représentait pour vous ce lieu sûr, l'endroit où on se réfugiait. Désormais, ce n'est qu'un rappel amer de douleur, de désespoir et d'angoisse. Chaque fois que vous osez y remettre les pieds, votre coeur endolori se pince et se resserre. Personne ne le voit, et votre chagrin est tel que vous ne dites rien. Sachez bien, cher ami, qu'on ne se préoccupera jamais de vous. Il faut savoir que chacun, bon ou mauvais, est bien trop occupé à prendre soin de lui. Vous pouvez toujours vous exprimez avec l'écriture, elle seule vous écoutera, et alors vous dira que vous écrivez très bien. Personne ne pensera à vous demander où vous trouvez toute cette inspiration, ou si c'est du vécu. Quand bien même quelqu'un s'y intéresserait, ce ne serait que pour un court moment, ou pour se donner un genre. Pensez à vous, allez jusqu'au bout de la rue pavée et n'y remettez plus les pieds. Partez loin, quittez les. Pas un mot, le départ est le meilleur des antiseptiques. Croisez les doigts pour que la culpabilité les ronge. Et puis un jour vous revenez montrer à ces gens qu'ils ne sont pas indispensables, et que l'on peut très bien faire sans eux. Un jour tu m'as dis qu'un était tous maîtres de son destin, qu'il suffisait de se secouer les puces, de toujours réfléchir à une porte de secours, un parachute, mais de toujours avancer. Se lever le matin en conquérant et non en hurlant après son réveil. Et bien demain, promis, en me levant, je serais une battante. Pour toi. Pour moi. Pour cette vie qui avance ces voies à mes pieds. J'ai essayé. Je te jure que j'ai essayé. J'ai tenu sept jours. Sept long jours. Un semaine. Mais là, je suis désolée, je ne peux plus. Je te jure, j'ai essayé de sourire. J'ai même bien réussi. Je te jure, j'ai essayé de paraître joyeuse et les autres y ont cru. Je te jure, j'ai même ris, au moins une fois par jour. Mais je te jure, ce soir, je ne peux plus. Je te jure, j'ai essayé. Mais je suis désolée, c'est trop dur de faire semblant. Alors, je suis rentrée lentement, donnant des coups dans les cailloux. Seule, dans la nuit. Arrivée, j'ai monté les escaliers quatre à quatre. J'ai couru dans mon lit et, dans les draps propres, j'ai enfouis ma tête dans l'oreiller, et oui, j'ai pleuré. Je n'arrive plus à être heureuse. Je n'ai plus de forces, plus de motivation. J'ai la flemme de tout faire. Mes yeux se ferment tout seuls et j'aimerais ne jamais me réveiller. J'aimerais être dans ce songe où ma vie est une aventure. J'aimerais être cette fille forte qui voyage, qui apprends, qui comprends et se fait respecter de tout le monde. J'aimerais être cette fille qui galère mais qui finit par réussir et qui ne baisse pas les bras. J'aimerais être cette fille sûre d'elle, débrouillarde. Mais ça n'arrivera pas, n'est-ce pas ? Puis comme on dit : certains rêves doivent rester des rêves. Tout simplement. J'arrête. J'en parlerais maintenant au passé, c'est comme ça que je vais me soigner. En faire un passé à oublier. Je suis maudite. Toujours, ça se finit mal. Limite si ça commence parfois. Il faut simplement que je laisse tut ça tomber. Je ne suis pas construite sur le modèle de l'amour, du romantisme et de l'idylle. Je comprends mieux pourquoi je n'ai jamais aimé ça. On en devient niais, confiants, puis ça se retourne contre nous. Le revers de la médaille. Il est beaucoup moins brillant. C'est lui qui est devant mes yeux aujourd'hui. Que je les ouvre, que je les ferme, je ne vois que le fruit de mes erreurs. Je les hais tout ces gens heureux grâce à l'amour. Je me fous pas mal moi, de leur histoire. Moi je vais mal. Et je m'occupe plus que de moi maintenant. C'est décidé je n'en parlerais plus. Je ne veux pas qu'il rigole quand je dis quelque chose de drôle, il n'a plus le droit. Je hais son rire idiot, son sourire et sa voix. Je ne veux plus l'écouter. Lui rendre tout ce qu'il m'a donné. Je n'en ai plus besoin et je veux m'en débarasser. Il aura laissé toute ces marques là, sur le canapé. Ici, sur mon lit. Dehors, dans ce parc. Plus jamais je ne serais confiante. Non, ça n'a jamais été mon genre. Qu'il parte. Je n'ai plus envie de le retenir. Je ne veux plus garder ses expressions qui s'immiscent dans mes phrases. Que plus rien ne me retienne à lui ! C'est violent mais il n'y a que comme ça que ça marche. Je ne dois pas m'apitoyer sur mon sort. Ça c'est pour les gens heureux, et je les hais. Je me suis toujours passé de lui avant, j'en suis donc toujours capable. C'est pas compliqué, j'ai juste à l'ignorer et tout ira bien. On se créait facilement des problèmes, il faut l'avouer. Maintenant on va faire comme s'il ne s'était rien passé, que je n'avais jamais tenté de l'aimer. Et je vais de ce pas répéter cette phrase « Tout va pour le mieux «. C'est comme ça que ça marche, il faut dire le contraire quand on y croit plus. Et puis là.. le vide. D'un coup. VLAM. La chute. L'atterrissage. La douleur. Je ne supporte plus le manque. JE veux crier. Il faut qu'il sache. J''essaye de ne plus l'aimer. Du moins, de ne pas y penser puisque c'est ce qu'il veut. Je ne suis pas blessé non, c'est bien pire. J'ai tellement mal que je ne trouve plus les mots. Croyez moi je peux très bien me défaire de lui. Mais.. connaissez vous le manque, le vrai ? On peut bien tenir deux jours mais que c'est bon de replonger. Regoûter nous replonge dans notre ancien bonheur. Malgré qu'il soit factice, on en a besoin. Et moi, tout ça m'est devenu vital. Même si je voulais tout lâcher,...

« mon cœur se creuse encore et encore.

Chaque partie de mon cœur et de mon esprit sont en manque de toi.

De ta voix.

De tes mots.

De tes yeux reflettants la vie..

De ton visage reflettant la douceur.

Je l'ai dans ma tête ce visage.

Mes yeux se décomposent afin de former une goutte d'eau de la taille d'un océan.

Cette goutte tombe avant de glisser sur mes joues et de mourir sur ma peau.

C'est ainsi mon quotidien.

Je n'en peux plus sans toi. Peut­être de ne plus vouloir souffrir, j'ai d écid é de te fermer mon cœur. Ferm é aux autres   peut­ être autant qu' à moi m ême.. Je ne sais plus  à qui faire confiance. La vie, l'amiti é et   m ême l'amour sont un peu comme une maison. Certains y entrent, d'autres y sortent. Alors   toi, quand tu partiras, je te demande de claquer la porte bien fort. Je voudrais l'entendre et te   courir apr ès, te rattraper. Promets moi.. Hein   ? Tu la claqueras la porte?Aussi fort que tu   peux s'il te plait. Pour l'instant, j'attends que quelque chose me tombe dessus. Quoi   ? Je ne   sais pas. Et puis qu'est­ce que je ferais, hein?Qu'est­ce que je pourrais bien dire   ? Je ne   sais pas. On  écrit sa vie jour apr ès jour. Une vie dont on est acteur et spectateur. On  écrit   son destin minutes apr ès minutes. Et ces mots,  à quoi ils serviront au fond   ? La m échancet é et la cruaut é des autres est tellement immense envers les autres. Comment   arrivent­ils  à se trouver un plaisir si subtil  à faire du mal   ? Je ne effondrerais pas, pas pour   eux, pas comme   ça. Rien n'est plus doux que le son d'une rupture.

Il tinte à vos oreilles et se retourne , vous saluant de ses belles dents, il s'en va et vous laisse là.

Par terre, envers et contre tous, n'ayant que vos yeux pour pleurer.

Par terre, dans ces caniveaux dégueulasses d'une rue pavée où, fut un temps, vous viviez vos plus belles années.

Cette rue qui représentait pour vous ce lieu sûr, l'endroit où on se réfugiait.

Désormais, ce n'est qu'un rappel amer de douleur, de désespoir et d'angoisse.

Chaque fois que vous osez y remettre les pieds, votre cœur endolori se pince et se resserre.

Personne ne le voit, et votre chagrin est tel que vous ne dites rien.

Sachez bien, cher ami, qu'on ne se préoccupera jamais de vous.

Il faut savoir que chacun, bon ou mauvais, est bien trop occupé à prendre soin de lui.

Vous pouvez toujours vous exprimez avec l'écriture, elle seule vous écoutera, et alors vous dira que vous écrivez très bien.

Personne ne pensera à vous demander où vous trouvez toute cette inspiration, ou si c'est du vécu.

Quand bien même quelqu'un s'y intéresserait, ce ne serait que pour un court moment, ou pour se donner un genre.

Pensez à vous, allez jusqu'au bout de la rue pavée et n'y remettez plus les pieds.

Partez loin, quittez les.

Pas un mot, le départ est le meilleur des antiseptiques.

Croisez les doigts pour que la culpabilité les ronge.

Et puis un jour vous revenez montrer à ces gens qu'ils ne sont pas indispensables, et que l'on peut très bien faire sans eux. Un jour tu m'as dis qu'un  était tous ma îtres de son destin, qu'il suffisait de se secouer les puces, de toujours   r éfléchir  à une porte de secours, un parachute, mais de toujours avancer. Se lever le matin en conqu érant et non en   hurlant apr ès son r éveil. Et bien demain, promis, en me levant, je serais une battante. Pour toi. Pour moi. Pour   cette vie qui avance ces voies  à mes pieds.

J'ai essay é. Je te jure que j'ai essay é. J'ai tenu sept jours. Sept long jours. Un semaine.

  Mais l à, je suis d ésol ée, je ne peux plus. Je te jure, j'ai essay é de sourire. J'ai m ême bien   r éussi. Je te jure, j'ai essay é de para ître joyeuse et les autres y ont cru. Je te jure, j'ai m ême   ris, au moins une fois par jour. Mais je te jure, ce soir, je ne peux plus. Je te jure, j'ai essay é.

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