Arthur SCHOPENHAUER / Aphorismes sur la sagesse dans la vie (1851) / Collection Quadrige / PUF 1943 « On reproche fréquemment aux hommes de tourner leurs voeux principalement vers l'argent et de l'aimer plus que tout au monde. Pourtant il est bien naturel, presque inévitable d'aimer ce qui, pareil à un protée infatigable, est prêt à tout instant à prendre la forme de l'objet actuel de nos souhaits si mobiles ou de nos besoins si divers. Tout autre bien, en effet, ne peut satisfaire qu'
Publié le 22/02/2012
Extrait du document
ATTENTION ! Un délai de 24 heures est à prévoir pour obtenir le commentaire de cette citation.
Liens utiles
- Arthur SCHOPENHAUER / Aphorismes sur la sagesse dans la vie (1851) / Collection Quadrige / PUF 1943 « Comment peut-on prétendre que les amis sont rares, dans le besoin ? Mais c'est le contraire. À peine a-t-on fait amitié avec un homme, que le voilà aussitôt dans le besoin et qu'il vous emprunte de l'argent. ». Commentez cette citation.
- «Ni aimer ni haïr», c'est la moitié de la sagesse humaine: «ne rien dire et ne rien croire» l'autre moitié. Mais avec quel plaisir on tourne le dos à un monde qui exige une pareille sagesse. Aphorismes sur la sagesse dans la vie (1851) Schopenhauer, Arthur. Commentez cette citation.
- Comment peut-on prétendre que les amis sont rares, dans le besoin? Mais c'est le contraire. A peine a-t-on fait amitié avec un homme, que le voilà aussitôt dans le besoin et qu'il vous emprunte de l'argent. Aphorismes sur la sagesse dans la vie (1851) Schopenhauer, Arthur. Commentez cette citation.
- «Ni aimer ni haïr», c'est la moitié de la sagesse humaine: «ne rien dire et ne rien croire» l'autre moitié. Mais avec quel plaisir on tourne le dos à un monde qui exige une pareille sagesse. [ Aphorismes sur la sagesse dans la vie (1851) ] Schopenhauer, Arthur. Commentez cette citation.
- n'avoir jamais et d'aucune manière besoin des autres et le leur faire voir, voilà absolument la seule manière de maintenir sa supériorité dans les relations. Aphorismes sur la sagesse dans la vie (1851) Schopenhauer, Arthur. Commentez cette citation.