Ah ! insensé qui crois que je ne suis pas toi. Victor Hugo
Publié le 22/02/2012
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? Les romantiques ont parfois été accusés d'accorder trop d'importance à leur « moi ». Victor Hugo se défend contre cette accusation dans la préface de son recueil de poèmes intitulé Les Contemplations (1856). Il n'y a là nul égocentrisme, nul égoïsme, explique-t-il, car le poète n'exprime pas seulement ce qui se passe dans son âme, mais aussi ce que ressentent les autres hommes.
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- « Ah insensé, qui crois que je ne suis pas toi ! » a écrit Victor Hugo dans la préface des Contemplations. Dans quelle mesure l’expérience personnelle des poètes peut-elle concerner le lecteur ?
- « On se plaint quelquefois des écrivains qui disent moi. Parlez-nous de nous, leur crie-t-on. Hélas! quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas? Ah! insensé qui crois que je ne suis pas toi! » (Victor Hugo.)
- Victor Hugo a écrit dans la préface des Contemplations (1856) : On se plaint quelquefois des écrivains qui disent moi. Parlez-nous de nous, leur crie-t-on. Hélas ! quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas ? Ah ! insensé, qui crois que je ne suis pas toi. Vous discuterez cette affirmation en prenant pour exemples un ou plusieurs des poèmes romantiques que vous connaissez le mieux.
- Ah ! insensé qui crois que je ne suis pas toi. Victor Hugo
- Ah ! Insensé qui crois que je ne suis pas toi ! (Victor HUGO)