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Psychose d’Alfred Hitchcock donne au public des sueurs froides

Publié le 28/03/2019

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Psychose d’Alfred Hitchcock donne au public des sueurs froides

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Psychose n'est pas seulement un chef-d'œuvre absolu du genre, le thriller, mais est également le film préféré du metteur en scène britannique Alfred Hitchcock. La scène du meurtre sous la douche entre dans l'histoire du cinéma.

Hitchcock pousse le genre du thriller à la perfection. Son style est caractérisé par son humour et son goût pour la provocation.

Dans Psychose, Hitchcock réussit avec les moyens cinématographiques les plus simples, à atteindre le paroxisme de l'émotion. Maître en l'art de manipuler le public, il dit un jour de son œuvre : « Tout le monde va dire : comment peut-on tourner ainsi un film effrayant ? Le thème est terrifiant, les personnages sont insignifiants, il n'y a pas de caractères. Je sais tout ceci, et pourtant... »

 

Une secrétaire de Phoenix, Arizona, s'enfuit avec l'argent de son chef dans son sac à main. Lorsqu'elle se décide à passer la nuit dans la pension Bâtes, perchée sur une colline telle une maison fantôme, elle commet une erreur fatale. Après avoir dîné en compagnie de Norman, le fils tourmenté de la propriétaire Mrs. Bâtes, elle est assassinée à coups de couteaux sous sa douche.

 

Au fur et à mesure du sinistre déroulement du film, Hitchcock dévoile peu à peu l'identité réelle de Mrs. Bâtes ainsi que la véritable nature de son fils Norman campé par Anthony Perkins. Personnage élancé, bégayant et perfidement séduisant, avec un sourire qui n'apparaît que quelques fractions de secondes au coin de sa bouche, Perkins interprète le rôle de Norman avec une intensité torturante. Dans la scène finale, le bégaiement nerveux de Norman dans l'asile de fous se tait sous une couverture qu'il tire à lui comme pour se protéger.

 

Dans Psychose, Hitchcock se laisse aller à son habituelle obsession du détail, présente dans toutes ses œuvres. Il faudra sept jours pour tourner la terrible scène du meurtre sous la douche, qui dure 45 secondes. La scène dans laquelle Martin Balsam, l'enquêteur trop curieux de la compagnie d'assurance, est surpris par la mort dans la lugubre cage d'escalier de Mrs. Bâtes, constitue un exemple typique du renforcement de l'effet de choc et du talent de

Hitchcock pour faire du spectateur le participant impuissant de l'action. Hitchcock explique : « Lorsqu'un film est bien construit, du point de vue de l'émotion qu'il doit provoquer, le public japonais doit crier au même moment que le public indien. »

« Hitchcock pousse le genre du thriller à la perfection.

Son style est caractérisé par son humour et son goût pour la provocation.

Psychose d'Alfred Hitchcock donne au public des sueurs froides Psychose n'est pas seulement un chef-d'œuvre absolu du genre, le thriller, mais est également le film préféré du metteur en scène britannique Alfred Hitchcock.

La scène du meurtre sous la douche entre dans l'histoire du cinéma.

D ans Psychose, Hitchcock réussit avec les moyens cinématographiques les plus simples, à atteindre le paroxisme de l'émotion.

Maître en l'art de manipuler le public, il dit un jour de son œuvre : «Tout le monde va dire : comment peut-on tourner ainsi un film effrayant ? Le thème est terri­ fiant, les personnages sont insigni­ fiants, il n'y a pas de caractères.

Je sais tout ceci, et pourtant ...

>> Une secrétaire de Phoenix, Arizona, s'enfuit avec l'argent de son chef dans son sac à main.

Lorsqu'elle se décide à passer la nuit dans la pension Bates, perchée sur une colline telle une maison fantôme, elle commet une erreur fatale.

Après avoir dîné en compagnie de Norman, le fils tourmenté de la propriétaire Mrs.

Bates, elle est assassinée à coups de couteaux sous sa douche.

Au fur et à mesure du sinistre déroulement du film, Hitchcock dévoile peu à peu l'identité réelle de Mrs.

Bates ainsi que la véritable nature de son fils Norman campé par Anthony Perkins.

Personnage élancé, bégayant et perfidement séduisant, avec un sourire qui n'apparaît que quelques fractions de secondes au coin de sa bouche, Perkins interprète le rôle de Norman avec une intensité torturante.

Dans la scène finale, le bégaiement nerveux de Norman dans l'asile de fous se tait sous une couverture qu'il tire ·à lui comme pour se protéger.

Dans Psychose, Hitchcock se laisse aller à son habituelle obsession du détail, présente dans toutes ses œuvres.

Il faudra sept jours pour tourner la terrible scène du meurtre sous la douche, qui dure 45 secondes.

La scène dans laquelle Martin Balsam, l'enquêteur trop curieux de la compagnie d'assurance, est surpris par la mort dans la lugubre cage d'escalier de Mrs.

Bates, constitue un exemple typique du renforcement de l'eff et de choc et du talent de Hitchcock pour faire du spectateur le participant impuissant de l'action.

Hitchcock explique : « Lorsqu'un film est bien construit, du point de vue de l'émotion qu'il doit provoquer, le public japonais doit crier au même moment que le public indien.

» La fameuse scène de Psychose : le meurtre sous la douche, avec Janet Leigh Mais pour Hitchcock, Psychose est avant tout un film divertissant :. »

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