Les vampires de Feillade
Publié le 25/08/2012
Extrait du document
A peine démobilisé, Louis Feuillade reprit à la fin de 1915, la réalisationd'unnouveau "seriai" qui avait pour titre général Les vampires. Cette série lui permit de renouer avec le succès public qu'avaient connu les Fantômas et aussi à la Gaumont de concurrencer les séries produites aux Etats-Unis par l'audacieux réalisateur...
«
garçons." Musidora est selon certains .à l'origine du mot ·
"vamp".
Elle devint par la suite réalisatrice et travailla
avec Henri Langlois à la Cinémathèque française.
Bien sûr,
la série des Vampires fut fortement critiquée
par les intellectuels bien-pensants.
Mais elle constitua le
plus important succès public de Louis Feuillade et fut
acclamée par les futurs surréalistes qui voyaient
en
Musidora la" Dixième Muse ".
En 1928, André Breton et Louis Aragon écrivirent:
" On comprendra un jour qu'il n'y eut rien de plus réa
liste et de poétique à la fois que le ciné-feuilleton qui
faisait jadis
la joie des esprits forts.
C'est dans Les mys
tères de New York, c'est dans Les Vampires qu'il faudra
chercher la grande réalité de ce siècle.
Au-delà de la mode, au-delà du
goût.".
»
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- « Publier un livre c’est procéder à un lâcher de vampires. Les livres sont des oiseaux secs, exsangues, affamés, qui errent dans la foule en cherchant éperdument un être de chair et de sang sur qui se poser, pour se gonfler de sa chaleur et de sa vie : c'est le lecteur », dit Michel Tournier dans Le magazine littéraire en 1981. A l'aide des cinq textes proposés et des romans que vous avez lus, vous vous demanderez si la part que Tournier fait au lecteur n'est pas excessive.
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