Le cinéma égyptien
Publié le 19/08/2013
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LE GROUPE DU NOUVEAU CINÉMA
Si ces comédies remplissent les salles, elles n'en représentent pas moins un cinéma assez peu créatif, se démarquant peu des succès occidentaux. Au tout début des années 1980, quelques réalisateurs vont remettre en cause cette facilité, qui va de pair avec l'abandon du sens critique à l'égard du régime. Ils ne se trompent d'ailleurs pas de cible, en contestant moins les oeuvres de leurs aines que l'institution de la censure. Réclamant davantage de liberté et promouvant un réalisme sans concession, ils vont en l'espace de quelques années donner une série de films qui racontent, au plus près, le trouble d'une société tentée par l'islamisme.
Rafaat al-Mihi donne le manifeste de cette école, avec Des yeux toujours éveillés (1981), mais on retiendra surtout le nom de Mohamed Khan, qui, avec Le Retour d'un citoyen (1986), imagine le regard que porterait sur l'Égypte contemporaine un émigré de retour au pays.
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