critique film tel père tel fils
Publié le 26/04/2022
Extrait du document
«
Tel père, tel fils un film esthetique pour tous
Si aux premiers abords Tel père, tel fils et son scénario nous
rappelle cette fameuse comédie française la vie est long fleuve
tranquille, on se rend vite compte que bien qu’il s’agisse des
mêmes thèmes ils sont abordés avec une sensibilité toute
particulière.
Tel père,tel fils est un long métrage de Hirokazu
Kore-Eda sortit le 25 décembre 2013.
Il s’agit d’un drame
familial japonais, qui nous fais réfléchir à ce qui unit un père et
son fils, « le temps ou le sang ? » ou encore que doit-on
privilégier « l’inné ou l’acquis ? ».
Ryota Nonomiya est un architecte, très préoccupé par sa
carrière professionnelle, à côté de cela Il forme une petite
famille parfaite avec sa femme et leur fils de 6ans.
Quand la
maternité de l’hôpital ou est née le petit Keita annonce à la
famille qu’il y eu un échange de nouveau-né à la naissance
c’est tout un monde qui s’écroule.
L’enfant qu’ils ont élevé
pendant 6ans n’est pas le leur, et leur enfant biologique lui a
grandi dans un milieu bien plus modeste avec un mode de vie
plus simple.
De là on assistera aux grands questionnements
des parents de ces enfants, autant du côté de Ryota et son
épouse que de Yudai Saki le père biologique donc de Keita et
père de deux autres enfants.
Hirokuza Kore-Eda met ainsi en
relief les deux modes de vie de ses familles, et montre
comment chacune va gérer ce drame.
La première chose qui m’a frappé en commençant le film était
le traitement de la lumière, une exposition très soignée.
Des
plans respectant presque toujours la règle du un tier deux tiers.
J’ai beaucoup aimé regarder les enfants à travers des plans
plats et rapprochés poitrines, ce qui nous donne l’impression de
vraiment être avec eux, de même voir le monde de leurs yeux
parfois, et le jeu d’acteur des enfants est tout aussi
remarquable, personnellement je me suis trouvée fascinée et
touchée devant ces petits visages d’enfants..
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