Catégorie : Dictionnaire
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mean? Over." "Well, they always seem to run out. Everyone's
I could hearherkissing herfingers andthen blowing. 4. Buckminster 3. Mom I blew herakiss back. 2. Grandma "Over andout," oneofus said. 1. Dad We need much bigger pockets, Ithought asIlay inbed, counting offthe seven minutes thatittakes anormal personto fall asleep. Weneed enormous pockets,pocketsbigenough forour families, andourfriends, andeven thepeople who aren't onour lists, people we'venevermetbutstill want toprotect. Weneed pockets forboroughs andforcities, a pocket thatcould holdtheunivers...
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une photo et qu'elle m'avait demandé d'aller regarder - c'était au
Numéro 141,adresse donnéesurces centaines decertificats denaissance etde décès qu'Alex m'avait envoyés, desannées auparavant, maisqu'ilavait déménagé danslesannées 1930dans une grande maison neuvedelarue Dlugosa. Avecletemps, Jacketles autres, enAustralie, en Europe eten Israël, avaient confirmé cetteinformation etdessiné descartes pourquejepuisse repérer précisément l'endroitdelarue – juste enface duPetit Parc– etdelamaison elle- même, laquatrième surladroite enpartant dudébut delarue. Mais laq...
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quinze ans le jour de 1943 où elle était rentrée chez elle après avoir fait des courses dans le
centre de la ville et tout le monde parlait dans la rue.
Janina Latykn'avait plusqu'une choseànous révéler etj'étais nerveux quandj'aidit, àla fin de notre longue conversation, Maintenant,peut-ellenousmontrer quellemaison c'était? Elle ahoché latête. Avant quenous neressortions dechez elle,j'aiditàAlex, S'ilvous plaît, dites-lui quemafamille avécu dans cette villependant plusdetrois cents ansetque jesuis àla fois honoré etreconnaissant del'avoir pourvoisine. Il atraduit maphrase etelle m'a souri enposant lamain surson cœur, avantdelatendre vers moi....
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Dimanche, le 9 ?
Hello, adit Shlomo surson portable. Ilétait assis àcôté deDyzia, m'a-t-il dit.Elle était prête. Un léger échoenveloppait savoix. Vous voulez luiparler ?a-t-il demandé. Euh, jene peux pas,ai-je répondu, elleneparle pasmalangue. Maisvousnevoulez pas enregistrer savoix ?a-t-il dit.Shlomo comprenait désormaismapassion pourleschoses concrètes. Euh, jene peux paslefaire maintenant, ai-jedit,peut-être lemois prochain quandjeviendrai. J'ai demandé àShlomo dedire àDyzia, enguise d'introduction, qu'unedes...
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dérouler, pétrifiée.
Yona hochait latête. De nos jours, onnepeut pascomprendre uneamitié decegenre, a-t-elle ditenfixant son regard surmoi. J'ai approuvé delatête. Même sije ne savais pastrès bien cequ'elle voulait dire,jen'étais pas surpris d'entendre quelesamitiés deBolechow, lesamitiés forgées aucours d'une civilisation perdue dansunempire disparu avantmême qu'aitcommencé laPremière Guerremondiale, étaient, commetoutlereste àBolechow, irrémédiables. Soudain, elleasouri. Votre grand-père étaitun vitzer. Vous savez...
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cette histoire, et pendant qu'elle s'est éloignée, j'ai parlé de Frydka avec Shlomo, qui avait
travaillé avec elle à la Fassfabrik.
s'était retrouvé, luiaussi, coincé àBolechow pendantlaguerre ;si sa merveilleuse habiletéà magouiller pourobtenir cequ'il voulait, poursesortir detoutes lessituations enbaratinant, n'appartenait qu'àluiou bien était l'expression d'untraitdecaractère autrefoisflorissant dans notre famille maisqui(c'était l'impression nondite quianimait notreintérêt) semblait s'être éteint. Shlomo venaitdedire, nonsans unecertaine admiration : Elle s'était arrangée pourtravailler à l'intérieur ! Elle aurait dûvivr...
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des faits, des documents historiques.
dit, ilya huit mois. Zey zent behalten bayalererin. Alena adit, C'était uneprofesseur. Puiselleaajouté, demanière déconcertante, Jesuis désolée, c'estuncliché ! Je n'avais pasidée decequ'elle voulait dire. C'est uncliché, maisjedois aller jeter uncoup d'œil àmon four ! J'aisouri, soulagé, etAlena s'est levée etafoncé danslacuisine pourvoiroùenétait sondessert. Pendant qu'elleétait partie, samère aparlé et,dans unanglais àla fois hésitant etvéhément, elleatraduit ce qu'Adam avaitdit. Et ils ont é...
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Je comprenais ce qu'il voulait dire.
Elle saura. Il arecommencé àparler aveclejeune homme, quipointait ledoigt verslebas de la rue etdonnait l'adresse. Lenom delafemme étaitLatyk – unnom courant danslecoin ;elle n'avait aucunliendeparenté avecl'autre MmeLatyk. De nouveau, lecoup surlavitre ;de nouveau, lessalutations criéesethésitantes. Lamaison était grande, blanche, immaculée. Enregardant àtravers labarrière, onpouvait voirungrand jardin. Traversant cejardin, aubout dequelques instants,estapparue unepetite femme, à l'allure solid...
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Prokopiv a dit quelque chose d'autre à Alex, mais au ton de sa voix, j'ai su que c'était une
question.
s'intéressait auxfaits qu'Alex avaitétéfroissé etavait dit,Jesuis désolé, maiscomment pouvez- voussavoir ça,iln'y aaucune preuvedanscecas précis, c'étaitjusteuneclairière, n'importe quelendroit auraitfaitl'affaire, n'importe quiaurait putrouver unendroit comme celui-ci ouunautre, d'accord ?C'était pourmettre finàcette tension quej'avais prislaparole, alors quenous noustenions danslaclairière verdoyante, etdit, Je crois quenous devrions simplement penseràcette jeune fille,unejeune filledeseize an...
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Le visage collé à la vitre, Yvan était entouré de voyageurs silencieux, patientant comme lui jusqu'au
prochain arrêt du métro.
considérable, unlegs majeur desplus grands espritsdelaRenaissance. François Ier,Léonard deVinci et bien d’autres… Faure semontrait deplus enplus agité. Ilétait parvenu àse tenir assis, adossé àl’oreiller, etluttait avec lasonde accrochée àson bras gauche commes’ilvoulait s’endéfaire. Yvansetenait prèsdelui, une main posée surson épaule. — De quoiparlez-vous ? — Trente ansderecherches, etjesuis loind’en avoir terminé, ily a tant dezones d’ombre ! Mais vous, Yvan ? Dites-moi quevous yparviendrez…...
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Edward BLEIBERG
1985-1986, « Historical Texts as Political Propaganda During the New Kingdom », BES 7, 5-14.
J. F. BORGHOUTS 1978, Ancient Egyptian MagicalTexts.Translated, Leyde. 1986, Nieuwjaar inhet oude Egypte, Leyde. Giuseppe BOTTI 1967, L'archivio demoticodaDeir el-Medineh, CatalogoMuseoEgiziodiTorino, I,1, Florence. Pierre DUBOURGUET 1964, L'artcopte, PetitPalais, Paris,17juin-15 septembre 1964,Paris. 1968a, Histoires etLégendes del'Égypte mystérieuse, Tchou. 1968b, L'artcopte, A.Michel. 1973, L'artégyptien, DescléedeBrouwer. R. P.BOVIER-LAPIERRE H.GAUTHIER &P. JOUGUET 1932, Précisdel'histoire d...
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Aviv, les fondations instables du bundestag, titrait Haaretz, le jour où nous avions
rendez-vous avec Josef Adler.
choses-là. J'ai fait ungrand gestedelamain. Jene juge pas ! Je ne juge personne, ai-je dit.Etc'était vrai. Parce qu'ilestimpossible desavoir certaines choses,parcequejene ferai jamais l'expérience des pressions quecertaines personnes ontsubies pendant lesannées deguerre, deschoix inimaginables qu'ilafallu faire, enraison detout cela, jerefuse dejuger. Pourtant, unepensée nouvelle germaitpendant quej'étais assislààmanger desdattes etdes figues :toutes ces années passées àne rien savoir deShmiel e...
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C'étaient mon oncle et sa fille.
Alex aposé laquestion àProkopiv etpuis s'est tourné pourm'adresser, àmoi seul, unregard intense. Il adit, Bien sûrqu'il s'ensouvient. Ilva nous yemmener, sion veut. La rue était silencieuse. Unepetite briseagitait lesfeuilles despommiers. J'ai dit, Oui, onveut. LA maison quiavait autrefois appartenu auxsœurs Szedlak, unbungalow deplain-pied etbas, très semblable àde nombreuses maisonsquel'onvoit àBolekhiv, avaitl'airabandonnée quand Prokopiv nousl'amontrée dudoigt, alorsquenous l'emmenions env...
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Mais Frydka doit attendre.
Shtiebl était unmot quejen'avais pasentendu depuisdesannées :une petite shul, une petite maison deprière, normalement dansunecave, dansunepartie d'unestructure plusgrande. Peut-être avecdédain, mongrand-père avaitl'habitude d'appelerlasynagogue loubavitchdans laquelle ilse rendait àla fin desavie un shtiebl, ce petit endroit deEighth StreetàMiami Beach, oùilse rendait nonparce qu'ilaimait lesHasidim, aucontraire, maisparce quec'était la seule shul où ilpouvait alleràpied deson immeuble, 1'immeub...
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avons pris le dessert et le café, il a commencé à me parler depuis l'autre bout de la table,
pendant que Klara et Ewa conversaient en polonais.
Peu après, nousnoussommes levéspourpartir. Comme jelefaisais detemps entemps àla fin de ces interviews, j'aidemandé àEwa dedemander àKlara quels étaient sesmeilleurs souvenirs deBolechow. Ewaaadressé maquestion àKlara, quiaécouté etpris unair mélancolique. Puiselleadit quelque chosedetrès bref àEwa. Ce que Klara adit, c'était, Les mauvais souvenirs onteffacé lesbons. Nous avons parléavecKlara lelendemain aussi,aprèsqueMatt apris quelques photosd'elle sur une petite placepavée. Ilfaut queçafa...
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-- Tu en es sûr ?
Postface À l’aube delaRenaissance, auXVIe siècle, leroi de France François I er va assouvir sesdésirs de prestige enédifiant lesprincipaux monuments dupays. Àl’âge devingt ans,ilremporte l’unedesplus grandes batailles del’Histoire, Marignan (1515),cequi renforce sonautorité etson pouvoir. Érudit, passionné d’art,d’histoire etde lettres, ils’entoure desplus brillants espritsdeson époque, etnotamment de Léonard deVinci. Ilaccorde sonpouvoir àcelui ducatholicisme ensignant leconcordat deBologne av...
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fauteuils contemporains autour d'une table basse.
Je ne parle pasl'hébreu. Ça me convenait parfaitement. Jene leparle pasnon plus, moiquiavais dûapprendre par cœur ma haftarah et qui, pour cette raison, n'avais paslamoindre idéequejechantais quelque chosesurlapurification delacommunauté juive;moi qui,pendant longtemps, n'avais pas eulemoindre intérêtpourledéchiffrement destextes enhébreu, destextes dontj'ai découvert presquetroptardqu'ils pouvaient éclairerlessecrets desfamilles etles mensonges des familles. Maisjen'étais quetrop heureux d'ente...
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tendres et impuissantes victimes, je peux me résigner à comprendre le destin qui vous anéantit, mais non point être dupe
de cette sorcellerie plus chétive que la vôtre, qui brandit devant un public avide des albums en kodachrome remplaçant
vos masques détruits.
autre. Entrecesdeux falaises maintenant àdistance monregard etson objet, lesannées quilesruinent ontcommencé à entasser lesdébris. Lesarêtes s’amenuisent, despans entiers s’effondrent ; lestemps etles lieux seheurtent, se juxtaposent ous’inversent, commelessédiments disloquésparlestremblements d’uneécorce vieillie. Teldétail, infime et ancien, jaillitcomme unpic ; tandis quedescouches entières demon passé s’affaissent sanslaisser detrace. Des événements sansrapport apparent, provenant depériodes...
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1980a, L'Égypte du crépuscule.
Christian LEROY 1975, «Voyageurs etmarins dansl'antiquité »,REG 88,178-181. A. LEROY-MOLINGHEN 1985, «Homère etThèbes auxcent portes »,CdE 60,131-137. Françoise LESAOUT 1978-1980a, «Reconstitution desmurs delaCour delaCachette »,Karnak 7,213-258. 1978-1980b, «Nouveaux fragmentsaunom d'Horemheb »,Karnak 7,259-264. 1978-1980c, «À propos d'uncolosse deRamsès IIà Karnak »,Karnak 7,267-274. F. LE SAOUT &Cl. TRAUNECKER 1978-1980, «Les travaux auIXe pylône deKarnak :annexe épigraphique »,Karnak 7,67-74...
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1983, « A Critical Examination of the Theory that the Right to the Throne of Ancient Egypt Passed Through the
Female Line in the 18th Dynasty », GM 62, 67-78.
1977-1978, «Ahhotep Iand Ahhotep II», Serapis 4,31-40. Jean ROUSSEAU 1988, «Les calendriers deDjoser »,DE 11, 73-86. Georges Roux 1985, LaMésopotamie. Essaid'histoire politique, économique etculturelle ,Paris, Seuil. RSO =Rivista degliStudi Orientali, Rome. Gerhard RÜHLMANN 1971, «Deine Feinde fallenunterdeinen Sohlen :Bemerkungen zueinem altorientalischen Machtsymbol», WZU Halle 20,61-84. Edna R.RUSSMANN 1974, TheRepresentation ofthe King, XXVth Dynasty, Bruxelles. 1979, «Some Reflections onthe...