Catégorie : Cinéma
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« Les choristes » l'analyse
Rachin. Il est un personnage particulièrement antipathique, froid et rigide dans son application des règles. Ceci est en contraste avec Clément Mathieu qui présent une approche bien plus humaine envers les problèmes d'eduction et comment traiter les enfants difficiles. La clé du succès de Mathieu, avec les garçons, est le fait qu'ils non seule ment apprennent à apprécier la musique, mais aussi ils apprennent le respect pour les autres et pour eux -mêmes. Pourtant c'est la musique qui joue...
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Sovkino
r Sovkino 205 4 De nombreuses œuvres sont cohsacrées à la méinotre de Lénine (• Trois chants sur Lénine .. de Vertov, .. Lénine en 1917 .. de MlkhaD Romm) tandis que la guerre civile inspire une abondante production. Avec le début de l'industrialisation se multiplient les documentaires péda gogiques glorifiant l'épopée du atakhanovi8me et de la collectivisation. La grande guer-re patriotique (1941-1945) inspire une . multitude de films à ·l...
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LE CINÉMA MONDIAL ENTRE LA GUERRE ET LA PAIX (1945 - 1955) - HISTOIRE
LE CINÉMA La caméra sans pitié du cinéma italien Au contraire, en Italie, cette même année 1946, un terrible chef-d'œuvre exaltait le lyrisme du quotidien: Sciuscia, de Vittorio De Sica. Là, pas de « gentillesse », pas de concession, pas de sourire. Non seulement le cinéaste mettait en scène deux enfants qui vivaient sans le savoir la plus belle, la plus pure, la plus cruelle des histoires d'amour, mais leur aventure était située dans un context...
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LES PREMIERS MOTS DU CINEMA
LE CINÉMA HOLLYWOOD «CENT POUR CENT PARLANT» A mesure que le cinéma faisait la conquête de ses propres techniques, on assistait à une spécialisation de plus en plus poussée des différents métiers du cinéma. A Hollywood, cette spécialisation alla plus vite et plus loin que partout. Non sans dommage. d'ailleurs : l'émiettement des responsabilités entraînant une para· lysie de l'improvisation, il est arrivé que des metteurs en scène de grande et forte p...
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INDUSTRIE CINÉMATOGRAPHIQUE: LE MATÉRIEL. LES TECHNIQUES DE BASE. LE SON
LA CAMERA L'appareil de prise de vues, la « caméra », est une chambre photographique munie de plusieurs objectifs de longueurs focales diffé rentes portés par une tourelle permettant leur substitution rapide. Ces objectifs, de grande ouverture, doivent être corrigés des aberra tions optiques et, pour cela, comporter un grand nombre de lentilles. Un mécanisme très précis, inventé par Louis LuMIÈRE, a pour double but de provoquer l...
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Analyse de 3 mythes fondateurs dans le film : Le village
La couleur rouge La couleur rouge représente la couleur du mal. Lorsque Noah poignarde Lucius et qu’il se retrouve les mains pleins de sang, celui -ci dit que c’est la mauvaise couleur. Aussi on remarque que les bêtes sont toutes vêtues de rouge. De plus c ette couleur peut représenter le diable et l’enfer dans les mythes.
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Industrie cinématographique
Parallèlement, la commercialisation de produits dérivés ( jouets pour enfants, jeux vidéo ou encore le disque de la bande originale du film) et les campagnes conjointes (une marque s’associe au film afin de bénéficier de son image) complètent le panorama des recettes 139 . Pour aider au financement d’un long métrage, en France, et dans le but de favoriser les producteurs débutants, le Centre national du cinéma et de l'image animée leur délivre automatiquement un soutien finan...
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DU LIVRE A L'ÉCRAN
tions en amis. Que s'est-il passé ? Que signifie ce carnaval étrange ? Nous aurions besoin d'une image plus ordonnée des événements. Le livre nous l'apporte. Construit par un es prit humain, il n'a pas la f olle complexité du réel. La Guerre de 14-18, pour ceux qui la vivaient, demeurait incompréhensible et indis tincte. Dans le Verdun de Jules Romains, elle s'éclairait un peu. c) Ici une réserve est nécessaire . Si le ro m...
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LE CINÉMA DE SCIENCE-FICTION
C. Nyby , 1950) ou dans la Guerre des Mondes (de B. Haskin, 1953 d'après le roman de Wells). Il faut aussi reconnaître que certains films se veulent à contre-courant et lancent implicitement un appel pacifiste comme le Jour où la Terre s'arrêta (de R. Wise , 1951) où les extra-terrestres sont por teurs d'un message de paix. Si les années 60 continuent dans la même voie avec le film terrifiant de P. Watkins, la Bombe (1965), la conquête...
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Etude de Boulevard du crépuscule
lentement les escaliers. Lorsque Norma s'approche de la caméra, que son gros plan est enfin fait (voir image 4dans l'annexe), elle disparaît derrière le flou de l'image. L'illusion est brisée, comme le voulait Wilder, et lespectateur sort de cette illusion pour se rappeler que c'est la fin pour Norma. Cette dernière scène illustre cepassage de l'illusion à la réalité, l'idéalisation du monde hollywoodien face à sa réalité. g) Publicité, promotion : Au bout de sept semaines, le magaz...
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Méthodes de prises de vues
mettre son bateau à l'eau ... Pour cette chasse aux images, vous vous faites aussi discret et alerte que possible, vos « victimes » ne doivent pas avoir le temps de vous repérer. C'est dire la brièveté des plans. Des impressions, voilà ce que vous recherchez avant tout. Maintenant que la toute première compétition s'engage, ne vous hâtez pas de filmer. Réser vez votre pellicule pour les épreuves plus impor tantes, et surtout...
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L'histoire du cinéma
Le Voyage dans la Lune vu par Méliès ( 1902) ... Coll. part . Arch. Snark-lnternational et par Edwin Al drin ( 1969) (I.P.S.l Tous les utopistes et rêveurs avaient prévu cette conquête de la lune mais aucun , aussi fou fOt-il, n'avait su prévoir qu 'elle se déroulerait sous le regard attentif de tous les autres hommes .
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Les Cascadeurs au cinéma
ou cll'S artistes de 1·ariétés. alors recrutés sur les tout nou1eaux plateaux de cinéma comme "ex tras pour les actions spéciales" et appelés familière ment en anglais bump-guys (utypes pare-chocs»). L'ironie veut que ces «types". faits pour Pncaisser les coups. ont souvent été des femmes comme Helen Gibson qui doubla l'actrice Helen llolmes dans de nombreuses scènes de pour suite: par exemple. des actions spectaculaires comme...
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Analyse du film Salaam bombay
3.3. La réalisation Pas de scène spectaculaire ni d’effets grandiloquents. Même le meurtre est montré sans effet d’insistance. La plupart des scènes sont tournées directement dans les rues de Bombay, en décors naturels. Rien à voir, donc, avec les films à gr os budgets et à effets spéciaux auxquels nous a habitués l’industrie du cinéma… Ceci n’enlève évidemm ent rien à la beauté de la photo et à la force du film. 4. Les personnages A vous de chercher ! ¾ Faites une liste ordon...
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L'Art du comédien
vécu tout ce qui habite un personnage , Stani slavski les incitait à chercher en eux et dans ieur vie quelque chose de semblable et à se souvenir de l'impression qu'ils avaient alors ressentie. Il désirait que ceux-ci se posent la question suivante: " Si j'étais à la place de cette personne, qu'est-ce que je ressentirais et qu 'est ce que je ferais ? » Si la pièce mettait en scène des person nages ou des lieux précis , il faisait en...
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Le Cinéma muet
salles sont les plus nombreus es: entr e 1905 et 1909, on passe de dix salles à près de dix mill e. Les Américains ont donc commencé par assurer leur suprématie dans le domaine de l'explo i ta tion des films. Pour ce qui est de la produ ction d es films , l a guerre de 1914-1918 va jou e r un rôl e détermi nant dans son organisation. Avant la guerre, la production mondiale est domin ée par l'entre prise de Charles Pathé (186...
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Akira Kurosawa (histoire du cinéma)
meurtre se déroulant , comme plusieurs des films précédents du cinéaste, dans le Japon féodal. La même scène est racontée en flash-back par plu sieurs personnages, présentant à chaque fois leur version, différente , des faits. Le recours au flash back était alors relativement peu fréquent au cinéma. Dans Rashomon , Kurosawa montre com ment cette technique peut être employée pour aborder d'une façon simple et dynamique un sujet d...
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Eric Rohmer (histoire du cinéma)
! Le réalisateur au travail. /1/ustration de A la •politique d'auteurs », Rohmer assure un contrôle étroit de tous les aspects techniques et artistiques de ses films , imprimant sa marque personnelle au moindre détail . La Collectionneuse (1966) est un conte ...... moral qui suit pas à pas l'évolution des relations entre un homme (Daniel Pommereulle) et une femme (Haydée Poliatoff) dans une villa du sud de la France. et Claude Cha...
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Le Cinéma italien après 1945 (histoire)
parm i les gens du peupl e. Le néoréalism e e ntend tout montr e r: le c hô mag e, la dé linqu ance urb aine, les prob lè m es agrair es, le d éses poir de la je unesse et la détresse des personnes âgées ... N éanm oins , en d épit de ces thè m es tirés du quotidien , l es cinéas tes néoréalistes app liqu e nt à la représen tatio n d e la r éalité le urs conceptions poli tiques et esthé tiqu es p er sonne lles. Les uns, com m e R osse llini , m e t...
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Wilder, Billy
époques du cinéma, ce film fastueux et funèbre sur l'illusion du monde tel que le crée Hollywood est cepe ndant le dernier fruit de la collaboration entre Wilder et Brackett , alors couronnés par l'os car du me illeur scénario. Après deux drames intenses et sombres bros sant le portrait d'un journaliste sans scrupu les (le Gouffre aux chimères , 1951 ) et celui d' un prison nier faisant du marché no i r (Sta lag 17, 1953), B ill y W il...