Vasco de Gama
Publié le 17/01/2022
Extrait du document
Alors que ses navires se trouvent dans la Mosset Baai, Gama fait placer une borne pour indiquer la progression de l'expédition . Il donne également l'ordre de démolir le navire de ravitaillement et de répartir les provisions entre les trois navires restants. Le 8 décembre, ils appareillent. Huit jours plus tard, ils dépassent la borne érigée par Dias qui indiquait le point le plus éloigné atteint jusque-là par les Portugais. Le 25 décembre, ils atteignent la côte d'un pays qu'ils appellent Natal (Nativité), car il leur était apparu le jour de la fête de Noël. Le 11 janvier, ils atteignent un cours d'eau qu' ils baptisent rivière du Cuivre, car les indigènes qui y vivaient possédaient de grandes quantités de ce métal.
«
repères.
D’autres besoins sont superflus, comme les bijoux ou encore les appareils électroménagers
sophistiqués.
Les magasins de grandes distributions font de l’homme un robot qui doit sans cesse planifier
ses tâches, s’organiser pour, par exemple, faire des provisions pour deux ou trois semaines, ce qui l’oblige
à penser au lendemain.
En outre, Karl Marx se pose réellement contre la publicité, comme en témoignent
ses propos : « La production ne produit pas seulement un objet pour un sujet, mais un sujet pour un
objet ».
A proprement parler, la publicité est une source de propagande qui enivre les hommes en créant
des besoins complétement futiles dont chacun pourrait se passer.
En revanche, la société actuelle suscite
d’autres besoins fondamentaux qui sont le fruit du savoir de l’homme.
En effet, disposer d’un logement chauffé, de bénéficier de l’électricité et de l’eau courante sont des
besoins qui favorisent le confort de l’homme, donc il s’agit bien de faux besoins, qui sont tout de même
essentiels dans la vie d’un homme d’aujourd’hui dans un pays dit développé.
Ainsi, il serait invraisemblable
d’imaginer un monde sans électricité parce qu’à l’heure actuelle, sans ce bien, l’évolution de l’homme ne
serait plus possible.
Ce serait comme interdire à l’homme de respirer…
Dès lors que l'on parle de besoins, l'on se réfère à la nécessité.
L'homme a autant besoin de se nourrir
que de se divertir ou encore de suivre l’actualité.
Ces besoins sont tous vrais dans la mesure où ils sont
tous nécessaires.
Il est impossible de distinguer les besoins naturels, les vrais, des besoins artificiels, les faux.
En effet,
pour l’homme, le naturel et le culturel se confondent : sans culture l’homme est démuni.
Mais les besoins
sont-ils pour autant tous nécessaires ? Même si le fameux proverbe « l’argent ne fait pas le bonheur »
suscite la controverse et que l’argent est une création de l’homme, il n’en est pas moins qu’aujourd’hui, il
est impossible de vivre sans, ne serait-ce que pour acheter de la nourriture, payer son logement, se vêtir et
bien d’autres choses.
Il est donc permis de penser que l’argent est un besoin qui ne se classe dans aucune
des deux catégories, même si nous pouvons penser qu’il s’agit plutôt d’un vrai besoin puisqu’il est la
source de certains besoins vitaux.
Tout comme les progrès sociétaux, les besoins sont continuellement en
évolution.
Tout d’abord, les besoins varient d’une société à l’autre en fonction de son développement.
Ainsi, un
logement chauffé et muni de l'eau courante est considéré comme un besoin fondamental dans les sociétés
occidentales développées, alors que ce n'est même pas considéré comme un besoin secondaire par les
tribus nomades d'Afrique ou d'Asie.
Mais les besoins varient également en fonction des époques.
C’est
pourquoi, les faux besoins d’hier sont devenus de vrais besoins.
Par exemple, avant l’invention de
l’électricité, les hommes vivaient plus simplement, mais aujourd’hui l’électricité est devenue un besoin
presque vital.
Quant à internet, il fait partie de notre quotidien.
Mais est-ce un besoin indispensable ? Il est
permis de penser qu’à l’heure actuelle l’homme puisse se passer de cette création, mais qu’en sera-t-il
demain ? Les faux besoins d’aujourd’hui deviendront les vrais demain…
En définitive, la distinction entre vrais et faux besoins reste trouble étant donné que chaque besoin,
même le plus futile, sert à assouvir les désirs de chacun.
Cependant, le désir se distingue du besoin dans
la mesure où l’insatisfaction d’un désir qui est la recherche d'un objet que l'on imagine ou que l'on sait être
source de bien-être, n’est pas mortelle, tandis que certains besoins vitaux frustrés conduisent à la mort..
»
↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓
Liens utiles
- Le personnage de GAMA Vasco de
- Vasco de Gama.
- Vasco da Gama - geografía.
- Vasco da Gama - geographie.
- Vasco de Gama par Damião Peres Professeur à l'Université de Coimbra (Portugal) Lorsqu'en