Jean de la Fontaine
Publié le 03/05/2015
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« notamment d'Aristote, il divertit la duchesse de Bouillon nièce de Mazarin . C’est seulement en juillet 1664 qu’il parvient à entrer au service de la duchesse d’Orl éans, au palais du Luxembourg.Heureux d' être à Paris, il fr équente dans les cercles litt éraires les écrivains les plus renomm és de son temps : de La Fayette, S évign é, Boileau, Moli ère, Racine, Perrault, La Rochefoucauld. Soucieux et conscient du poids de ses écrits frivoles, Le 12 f évrier 1693, il se repent de ses "contes inf âmes" devant une d élégation de l'Acad émie et re çoit la communion.Il se pr ésente à l'Acad émie fran çaise . Le roi s'y oppose pendant deux ann ées à cause de sa r éputation de libertin et de son amiti é pour Fouquet, mais il finit par être élu apr ès de nombreuses tentatives (d û à l’opposition de Cobert) en 1683. Cette ann ée, meurt Colbert. Les deux derni ères ann ées de sa vie, malade, il renonce à la vie mondaine, renie ses Contes et ne publie plus rien qui soit contraire à la religion et la vertu. Il se consacre à la m éditation et hante les églises o ù en priant il tente de faire face à sa peur de l'enfer. C'est dans cet état d'esprit qu'il meurt le 13 avril 1695 . Il a alors soixantequatorze ans. Ses Fables , appr éciées des petits comme des grands, restent actuelles gr âce à la simplicit é de leur langue et à leur forme imag ée . En effet, m ême si de nos jours la censure a disparu, la strat égie narrative adopt ée par La Fontaine utiliser des animaux pour repr ésenter les grands traits moraux des êtres humains reste toujours aussi astucieuse et dr ôle . Le po ète a souvent puis é son inspiration dans des fables plus anciennes, écrites par Esope, ou encore Horace, et il a renouvel é ce genre en en r éinventant totalement la forme : le court r écit devient alors un élément essentiel, au m ême titre que l’est la morale didactique qui le conclut. Les morales de La Fontaine se r ésume g énéralemnt en une phrase tel que « Rien ne sert de courir, il faut partir à point. » (Extrait du Le Li èvre et la tortue) 10 Fables des plus c élèbres de La Fontaine : · La Cigale et la Fourmi (La Fourmi et le Hanneton – Esope) · Le Loup et l’Agneau (Fable éponyme d’Esope et Marie de France) · Le Ch êne et le Roseau (Fable éponyme d’Esope) · Le Loup et le Chien (Fable éponyme d’Esope et Marie de France). »
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