htfgyhyety
Publié le 05/02/2014
Extrait du document
«
1.
Bannir les chariots à roulettes.
Se limiter physiquement, c’est refuser dès
l’entrée de tomber dans le superflu.
2.
Faire sa liste de courses avant d’entrer.
La résistance commence chez soi, en
écrivant noir sur blanc ce qu’on attend du périple.
3.
Ne regarder que les prix au kilo, et le volume recherché.
C’est le seul vrai
indicateur.
A qualité égale, peu importe la marque, comparer ce qui est
comparable (prix au litre, prix à l’unité, prix au kg)
4.
Commencer par le fond du magasin.
Prendre le contre-pied des marchands en
fonçant tout de suite au fond du magasin, vers les produits essentiels et
quotidiens.
Puis revenir, rayon par rayon, jusqu’à l’entrée, puis la caisse.
5.
Regarder d’abord au bas des rayons.
Les meilleurs prix sont à vos pieds.
Le
premier réflexe doit être de se fournir au bas des rayons.
6.
Pas de pauses inutiles, continuer à marcher.
Chaque pause est une tentation de
remplir le panier.
En gardant les yeux sur la liste des courses, vous
minimiserez les pauses.
7.
Marcher dans le même sens, pas de demi-tour.
Le demi-tour donne une
seconde chance aux jolis produits dont vous n’avez pas besoin.
8.
Calculette pour trouver le vrai prix.
Ne vous tordez pas le cerveau.
Quand vous
séchez, sortez la calculette.
9.
Dans le doute, n’achetez pas.
10.
A la caisse, scannez votre panier et abandonnez les articles superflus
Les désirs des consommateurs sont différents mais toujours vivaces.
Les consommateurs ont développé des techniques futées afin de toujours consommer avec un
porte-monnaie dégarni.
Pour continuer de consommer en période de vache maigre, le consommateur apprend aussi à
« acheter malin ».
Comparer les prix, acheter des produits de seconde main, échanger des
services avec d’autres particuliers via des pratiques de consommations collaboratives : autant
de comportements que la crise favorise et qui trouvent avec Internet un extraordinaire
facilitateur.
Internet répond aussi à une autre aspiration forte du consommateur : un traitement plus
individualisé de ses besoins, une prise en compte de ses valeurs et de ses gouts personnels.
Cette tendance se lit déjà depuis une quinzaine d’années dans l’essoufflement du modèle de
l’hypermarché.
Cela se lit aussi dans la segmentation de plus en plus fine des gammes de
produits proposées, voire des canaux de distribution.
¨Pousser son chariot dans un hangar sans attrait pour acheter les mêmes produits que son
voisin dans une exposition de surabondance ne fait plus autant recette.
Beaucoup aspirent
désormais à une offre « sur mesure ».
Le consommateur est en effet plus considéré, le nouveau consommateur plus informé, plus
engagé parfois, est aussi un consommateur scruté et exploité, qui livre son intimité aux
professionnels du marketing sans en avoir toujours conscience.
Avec l’essor du webmarketing, le consommateur est pris dans la toile petit à petit.
En effet, le consommateur a pris le pouvoir d’un coté avec l’abondante information disponible
sur le Web, la culture des avis ou les comparateurs de prix sont autant d’outils faisant de lui
un véritable « consommateur expert », apte à trouver la meilleure offre au meilleur prix.
Avec
l’étendue croissante des gammes (low cost, luxe) et la multiplication des circuits de vente
(magasins, sites Internet, ventes « privées », enchères, seconde main) il peut même avoir.
»
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