GIONO, Jean
Publié le 03/05/2011
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La vie de Giono est tout enracinée à Manosque. Elle est tournée vers la nature et les humbles. Elle est refus de la violence et recherche de la joie. En 1924, il publie ses premiers vers dans une revue marseillaise, puis des romans Colline (1928), Regain, Jean le Bleu (1933). Après une expérience de vie communautaire sur le plateau du Contadour (1935-41), il se fait “ le cruel défenseur de la paix ”. Giono se veut plus qu’un simple conteur ; il propose “ la civilisation de la sève et du sang ” ; le Chant du monde, Que ma joie demeure chantent la communion immédiate de l’homme avec toutes les forces de la nature. Après la guerre, il entreprend une vaste fresque historique qui se déroule en France et en Italie entre 1830 et 1848. Le titre général de Chroniques comprend une suite de romans stendhaliens dans lesquels évolue le personnage d’Angelo Pardi : les Ames fortes, le Hussard sur le toit, le Bonheur fou… Giono est élu à l’Académie française en 1954.
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