Un enterrement à Ornans [Gustave Courbet] - étude du tableau.

« usages établis de la scène de genre.

Mais son paradoxe est qu’il s’en dégage une éloquence âpre et austère, due pour beaucoup à l’extrême beauté des coloris, aux distinguos subtils des noirs, aux rehaussements de taches blanches des mouchoirs, des bonnets et du chien isolé au premier plan, aux couleurs chaudes des toges rouges des bedeaux et au bleuté des bas de laine et de la redingote du personnage de François Pillot-Secretan qui se tient à l’avant du centre-droit du tableau.

Eugène Delacroix finira par l’avouer : « Il y a de superbes détails : les prêtres, les enfants de chœur, le vase d’eau bénite, les femmes éplorées.

» Microsoft ® Encarta ® 2009. © 1993-2008 Microsoft Corporation.

Tous droits réservés.. »