Pietà [Michel-Ange] - sculpture.
Publié le 15/05/2013
Extrait du document
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l’idéalisation.
Cette volonté renforce l’intensité de la portée spirituelle de son œuvre et en accentue le caractère sublime.
À la suite d’Enguerrand Quarton ( Pietà de Villeneuve-lès-Avignon, v.
1455, musée du Louvre, Paris) et avant Bronzino ( la
Déposition, v.
1545, musée des Beaux-Arts, Besançon), Michel-Ange propose une extraordinaire scène de dévotion dont le réalisme sert l’expression religieuse.
On peut noter que l’artiste livre, dans les dernières années de sa vie, deux autres interprétations du thème, restées inachevées et de facture fort différente, la Pietà du Museo dell’Opera del Duomo de Florence (1550) et la Pietà Rondanini conservée au
Castello Sforzeco de Milan (1555) — une dernière Pietà, dite Pietà de Palestrina, est également parfois attribuée à l’artiste (galleria dell’Accademia, Florence).
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