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Munch - Le Cri

Publié le 05/02/2013

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Le cri, Edvard Munch OEuvre à rapprocher du désespoir 1892 et d'Anxiété 1894. Thématique de la terreur, le cri : la peur. Figure qui ressemble à une tête de mort, paysage enflammé, mouvant, instable. Isolement de la figure, se tient les oreilles. Figure éloignée de la réalité. Terreur venue de l'intérieur, de l'esprit. Couleurs expréssivement haussées. Rouge sang. Paleur du visage. Mouvement tourbillonnant de la composition,, les traits semblent ondulés comme des ondes sonores, vibrtaion. Le cri semble percée la nature. OU bien c'est la nature qui prend le dessus sur l'homme. Extériorisation de force et d'energie telle qu'on peut le trouver dans le tableau de Van Gogh, la nuit étoilée. Fort degré émotionnel. Il rend visuel le cri. Peinture sonore. L'angoisse norvégienne, tout comme sa contre-partie allemande était devenue le maïtre mot : Philosophie de Kierkegaard et de Nietzsche. Et Schaupenauer Même composition dans anxiété, mais ici on n'est pas dans l'horreur d'un isolement complet mais dans un désespoir collectif Frise de la vie : signification purement parabolique du caractère transitoire de la condition humaine en présence des rythmes éternels de la nature inanimée . A l'age de 26 ans il écrit : « Nous devrions cesser de peindre des intérieurs avec des gens qui lisent et des femmes qui tricotent. Ils nous faut peind...

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« faut peindre des gens vivants, des gens qui respirent, sentent, souffrent   et aiment   ». Art orienté vers l’int érieur. Ext ériorisation d’un  état psychique= processus   qui  a pour but la transmission aussi directe que possible, et non filtr ée,   de ce qui est le for int érieur en s’appuyant sur des composantes   litt éraires ett plastiques. Momie P éruvienne  du mus ée de l’homme possible source d’inspiration   pour le personnage. Source litt éraire   : romancier russe Feodor M. Dostoievski tr ès appr éci é   de Munch.

  Parent é avec le philosophe Soren Kierkegaard que Munch d écouvrira   plus tard «    Mon  âme est si lourde qu’aucune pens ée n’est plus en   mesure de la porter, qu’aucun battement de l’aile ne peut l’enlever ver   l’ éther. Si elle se meut, elle ne fait que passer au ras du sol, imitant le vol   bas des oiseaux quand un orage menace. Sur tout mon  être p èse une   angoisse, une peur, qui pressent un tremblement de terre.

  » Position de l’enfant semblable dans   «   la m ère morte et l’enfant   1897/99.

  »  o^l’artiste se rem émorre la mort de sa m ère lorsqu’il avait six   ans. Angoisse du personnage similaire dans les deux tableux, mains sur   les oreilles, yeux  écarquill és, bouche ouverte. Fresque de la vie   : «   amour­angoisse­mort   »’. «   Dans la nature, les lignes et les couleurs fr émissaient et palpitaient.

  Ces vibrations de la lumi ère ne provoquaient pas seulement l’oscillation   de mes yeux. Mes oreilles aussi  étaient affect ées et commen çaient  à   vibrer. Ainsi, j’ai v éritablement entendu un cri. Alors j’ai peint Le Cri.

  » Convergence de la vue et de l’ou ïe.. »

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