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Loyuis aragon

Publié le 18/05/2015

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Jules Supervielle (16 janvier 1884 - 17 mai 1960) est un poete et écrivain franco-uruguayen. Il est mort à l'âge de 76 ans. Né en Uruguay, il perd ses parents très tôt. Élevé par son oncle et sa tante, il fait ses études à Paris et, sans perdre contact avec Montevideo et l'Uruguay, fréquente les milieux littéraires de l'avant-garde parisienne à partir des premières années du XXe siècle. Supervielle s'est toutefois tenu à l'écart des Surréalistes. Désireux de proposer une poésie plus humaine et de renouer avec le monde, il rejetait l'écriture automatique et la dictature de l'inconscient, sans pour autant renier les acquis de la poésie moderne depuis Baudelaire, Rimbaud et Apollinaire, ainsi que certaines innovations fondamentales du surréalisme[réf. nécessaire]. Charles Baudelaire est né à Paris en 1821 et il y est mort en 1867. Du Romantisme, Baudelaire hérite la vision du poète en marge de la société humaine, plus près de Dieu (Bénédiction) ou de Satan (Les Litanies de Satan) que du monde terrestre (L'Albatros). Ce refus du monde matériel, notamment de l'univers bourgeois triomphant qui s'impose à la France pendant le 19e siècle, s'incarne dans une imagerie où les mouvements ascendants - élévation symbolisant le spirituel (cf. le thème de l'ange), le mystique et le génie artistique (Les Phares) - s'opposent aux «miasmes morbides» de la Terre (Élévation), à la chute dans le néant (Le Goût du néant) et au poids du Spleen et du Temps (Spleen et La Chambre double). Cette lutte entre le haut et le bas, entre l'Idéal et le Spleen, se poursuivra tout le long des Fleurs du Mal à travers de nouveaux thèmes comme la ville, le vin, le mal et la révolte, pour aboutir à l'ultime espoir, au dernier voyage : la mort. Paul Marie Verlaine est un poète français, né à Metz (Moselle) le 30 mars 1844 et mort à Paris le 8 janvier 1896 (à 51 ans). Après que le père, Nicolas-Auguste Verlaine, a démissionné de l'armée, la famille Verlaine s'installe à Paris en 1851. Paul Verlaine suit des études secondaires en pensionnat et devient bachelier en 1862, il renonce par la suite à des études de droit et entre comme employé à l'Hôtel de ville de Paris en même temps qu'il fréquente cafés et cercles littéraires comme ce...
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« Journaliste engagé, Antoine Blondin collabore à de nombreux journaux et notamment à la presse de droite et même d'extrême-droite : Aspects de la France , La Nation française et Rivarol . Toutefois, il collabore petit à petit à de nombreuses revues ou journaux de tous bords, telles Art, L'Humanité , Le Figaro et Elle ! Le plus souvent pour des critiques artistiques. Il est aussi lié au mouvement littéraire des Hussards : « À côté d'autres manifestations, nous étions quatre à créer une sorte de club Roger Nimier , Jacques Laurent , Michel Déon et moi 2 » .

Il participe à l'aventure de la Table ronde . Journaliste sportif également, il est l'auteur de nombreux articles parus notamment dans le journal L'Équipe .

Il suit pour ce journal vingt-sept éditions du Tour de France et sept Jeux olympiques , et obtient en 1972 le Prix Henri Desgrange de l' Académie des sports .

Ses chroniques sur le tour de France ont contribué à forger la légende de l'épreuve phare du sport cycliste . Buvant souvent plus que de raison, Blondin a évoqué avec des accents « céliniens » la passion de l' alcool dans Un singe en hiver (1959), qu' Henri Verneuil a adapté pour le cinéma sous le même titre . Il a passé une grande partie de sa vie à Linards , charmant village de Haute-Vienne . Il a marqué le quartier de Saint-Germain-des-Prés de ses frasques, jouant à la « corrida » avec les voitures, multipliant les visites dans les bars et collectionnant les arrestations dans un état d' ébriété avancée (cf.

son roman autobiographique Monsieur Jadis ou l'École du soir ).

À la fin, Christian Millau a raconté que ses amis en étaient venus, lorsqu'ils le croisaient dans la rue, à changer de trottoir de peur que Blondin ne les invite à boire un coup 3 . Il est inhumé au cimetière du Père-Lachaise (74 e division) 4 . PARIS Louis ARAGON, né en 1897 Où fait-il bon même au cœur de l'orage Où fait-il clair même au cœur de la nuit L'air est alcool et le malheur courage Carreaux cassés l'espoir encore y luit Et les chansons montent des murs détruits Jamais éteint renaissant dans sa braise Perpétuel brûlot de la patrie Du Point-du-Jour jusqu'au Père Lachaise Ce doux rosier au mois d'août refleuri Gens de partout c'est le sang de Paris. »

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