L'expansion du baroque dans le monde
Publié le 22/05/2012
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Rubens apprit son métier chez plusieurs maîtres flamands mineurs. Il se rendit ensuite en Italie où il vécut huit ans, copiant et étudiant les oeuvres des vieux maîtres. Revenu dans son pays natal, à Anvers, Rubens ouvrit un atelier qui prit rapidement des dimensions considérables...
Au début du dix-septième siècle, les Pays-Bas du Sud étaient encore sous domination espagnole. L'un des territoires espagnols les plus riches et les plus industrieux, la Flandre resta dans le sein de l'Église catholique, mais il fallut les sanglantes persécutions du duc d'Albe pour décapiter la Réforme dans ces provinces...
«
avec lui tout en le regardant
travailler, ou lorsque Charles
rer
d'Angleterre lui ferait l'honneur
de lui commander
un portrait.
Rubens apprit son métier
chez plusieurs maîtres flamands
nùneurs.
Il
se rendit ensuite en
Italie
où il vécut huit ans,
copiant et étudiant les œuvres
des
« vieux maîtres)).
Revenu
dans son pays natal,
à Anvers,
Rubens ouvrit
un atelier qui prit
rapidement des dimensions con
sidérables.
En 1611, soit deux ans
après son retour, 200 peintres et
élèves y travaillaient .
Dans cet
2 I.
Les maisons des Corporations
sur la Grand-P/açe de Bruxelles
(vers z696).
atelier, régnait manifestement la
spécialisation :
il y avait par
exemple des artistes indépen
dants, collaborateurs de Rubens,
conune Snyders qui excellait
dans
les peintures d'animaux et
les natures mortes, et Jean
Brueghel, surnommé Brueghel
de Velours, qui excellait dans
la représentation de paysages
composites.
Rubens mettait
l'accent sur l'aspect décoratif;.
»
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- Baroque Le baroque est " le changement, l'inconstance, le trompe-l'oeil et la parure, le spectacle funèbre, la vie fugitive et le monde en instabilité (.
- Baroque Le baroque est " le changement, l'inconstance, le trompe-l'úil et la parure, le spectacle funËbre, la vie fugitive et le monde en instabilitÈ (.
- L'expansion catholique dans le monde.
- Vous expliquerez et préciserez ces lignes extraites d'un article du critique Émile Henriot sur le livre de Jean Rousset consacré à La Littérature de l'âge baroque en France (1953) : «Le baroque est un art solide, massif, membré ; la préciosité est une afféterie, un jeu salonnier de la pointe, moins que rien... Cependant baroque et précieux parfois se rencontrent. Comme le baroque et le classique ; comme se rencontreront, sans nécessairement se confondre, le baroque et le romantique...»
- ÉVOLUTION DU FRANÇAIS ET SON EXPANSION DANS LE MONDE