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Le surréalisme: Paul Éluard Philippe Soupault

Publié le 02/04/2019

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soupault

1895-1952

 

Paul Éluard

 

Fils d'un agent immobilier, le jeune Paul-Eugène Grindel, hospitalisé à 17 ans dans un sanatorium, s'absorbe dans la lecture des poètes. Mobilisé, il écrit des poèmes pacifistes puis se tourne, grâce à Jean Paulhan, vers le problème de l'expression. Il rejoint le groupe de Littérature, crée sa propre revue, \"Proverbe\". Pour Éluard, c'est l'écriture qui

 

apporte le salut partir de 1938. et le sens. Il s'éloigne du surréalisme à

1897-1982  Louis Aragon  Fils naturel d'un notable de la Troisième République, le jeune

Louis Aragon est présenté à son entourage comme étant le petit

 

frère de sa mère! Cette situation nourrira son imaginaire et sa rencontre avec André Breton en 1917 au Val-de-Grâce lui ouvrira les portes d'un nouvel univers de pensée. Son adhésion au parti communiste en 1928 le fera rompre avec le surréalisme. Résistant, il participe en 1942 à la création d'un hebdomadaire, \"Les Lettres françaises\". Ses derniers romans, \"La Semaine sainte\", \"La Mise à mort\", \"Blanche ou l'oubli\", restent parmi ses oeuvres maîtresses.

 

1897-1990

 

Philippe Soupault

 

Originaire d'une famille bourgeoise enrichie, il dénonce très vite le culte de l'argent et les convenances sociales qui y règnent. Il se tourne d'abord vers la poésie, puis rejoint André Breton avec lequel il écrit en 1919 \"Les Champs magnétiques\", cahiers d'écriture automatique à quatre mains, qui ouvrent la voie à la remise en cause du langage dans la poésie et y instaurent un nouveau rapport avec le réel. Refusant d'adhérer au parti communiste, Soupault s'exclut lui-même du mouvement surréaliste en 1926.

 

1900-1935

 

René Crevel

 

À 14 ans, le jeune René Crevel retrouve son père pendu. Ce drame va dominer sa vie jusqu'à son suicide, en 1935. Après avoir fréquenté Vitrac et Tzara, il se tourne vers Breton dont il adopte le culte de l'esprit et la manière d'écrire. Dans \"Mon corps et moi\", \"L'Esprit contre la Raison\", il expose son homosexualité et s'engage dans le rêve d'un \"communisme des âmes\".

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« --- Informations sur l'utilisateur --- Sujet que l'utilisateur souhaitait consulter : (Id: 53465) Madame Bovary, La Description De Rouen (Partie III,Chapitre 5) Nom : Agathe Bothier E-mail : [email protected] Id user : 97052 Pour visualiser son profil suivez ce lien : http://www.devoir-de-philosophie.com/compte/angie05.html --- Informations sur le document transmis --- Titre : Le Surréalisme Catégorie: Beaux-arts Envoyé par téléchargement --- Contenu du document: --- Travail sur le surréalisme Paragraphe sur le surréalisme : Le surréalisme, apparu au début des années vingt, cherche à exploiter et à étudier l'inconscient.

Ses pratiquesmettent sur papier des idées qui viennent spontanément et sans réflexion à l'esprit, et ce sans aucune logique.

Lecollage et l'écriture automatique s'inscrivent dans la liste de ces pratiques.

Le collage consiste à coller des imagesqui n'ont aucun rapport entre elles sur un même support, ce qui crée des juxtapositions inattendues et étranges,souvent poétiques ou amusantes.

L'écriture automatique quant à elle consiste à écrire si rapidement que leconscient ne parvient pas à appliquer les idées préconçues et la logique sur le texte, et laisse donc le contrôle ausubconscient.

Ces deux méthodes dévoilent « le fonctionnement réel de la pensée ».

Les pratiques surréalistes sontutilisées en psychologie pour étudier l'inconscient et peuvent aider à guérir certains troubles psychologiques tel queles phobies ou la paranoïa. Etude du tableau surréaliste : Ce tableau est surement de Dali, on y retrouve le désert habituel dans les œuvres du peintre qui représente lasolitude.

Le sol est craquelé, angoissant et hostile.

Sur le côté gauche on aperçoit une silhouette, sûrement celled'un homme, à côté d'une maison qui offre de l'ombre à cet homme, et qui est le seul élément réconfortant dutableau.

Au milieu du tableau, une plateforme se distingue nettement.

Un corps est étendu dessus.

Ce corpsressemble de loin à celui d'un cheval mais certaines formes rappellent celles d'une femme.

Cette chimère peutsignifier le désir sexuel d'un être seul, cette hypothèse est confirmée par un poteau de forme phallique au milieu dudésert.

Ces deux éléments sont en contraste avec une sphère au premier plan qui est l'image de l'harmonie, de laféminité, de la pureté et de l'autosuffisance.

C'est le seul élément du tableau qui échappe au sentiment de désespoiret de culpabilité qui y règne.

Le désespoir est causé par la solitude et l'hostilité du paysage, et la culpabilité par ledésir.

Ce sentiment est représenté par la laideur et l'apparence de cadavre de la chimère mi femme mi jument.L'artiste sait qu'il ne devrait pas ressentir ce désir mais devant la solitude il ne parvient pas à s'en débarrasser.

Cetableau dévoile donc le désir inconscient de l'artiste.. »

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