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L'art et la question du corps

Publié le 17/01/2022

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Depuis le XXème siècle les artistes se pose la question du corps surtouts après la guerre. Mais quels sont les différentes conceptions du corps dans l’art de XXème siècle ? Quelles en sont les limites ? Pour cela nous allons étudier le corps figuré puis la présence du corps (que se soit celle de l’artiste ou celle d’un model).

 

                         Dans le corps figuré l’artiste va employer différente technique tel que la mimésis. Aristote philosophe disait « L’art imite la nature «. C’est un procédé mis au point par l’architecte Alberti  afin de reproduire de manière la plus fidèle qu’il soit la nature. C’est ainsi que les artiste ont découvert la perspective. L’art du paysage est alors un monde de reproduction scientifique du monde.  Au XVIIème siècle le peintre Poussin a peint « les bergers d’Arcadie «. 

« Mais il n’y a pas que la mimésis.

Il y a le domaine de la subjectivité ainsi le référant c’est l’artiste.

Il intervient sur et dans l’espace plan du support qu’il utilise.

Il agit sous la pulsion.

On voit apparaitre le mouvement, le vivant et l’informe.

Picasso utilise le subjectif dans sa peinture « les demoiselles d’Avignon » peint en 1907.

On a une rupture avec le style classique et conceptuelle.

Il bouleverse la manière de voir et de concevoir le monde.

Car il ne s’agit plus d’imiter mais de figurer.

Les visages sont dessinés de face alors que le nez est dessiné de profil.

Dans ce tableau le peintre a créé une rupture avec la peinture classique : pas de sujet narratif aucune perspective et absence de réalisme. Nous avons aussi l’artiste Juan Gris sa peinture s’intitule « Le livre ».

il l’a peint en 1911. C’est une huile sur toile, 55 x 46 cm.

Ce tableau est de petite taille.

C’est le premiers pas de Gris vers le Cubisme .

Il y étudie méthodiquement divers volumes, comme s’il reprenait la peinture à ses débuts ou, plus précisément, à ce qui constitue pour le Cubisme un commencement, la leçon de Cézanne .

Gris imite le thème de la nature morte.

Il joue ainsi avec les différents plans qui forment le fond de la toile.

Pareille a ses compagnons cubistes, Gris sépare ici la problématique de la mise en espace d’autres préoccupations profondément cézanniennes, comme la couleur.

La nature morte de Gris est en effet construite en camaïeu. Il y a aussi le peintre Georges Braque qui peint « Le Viaduc à L'Estaque » en 1908 à Paris.

Il s’agit d’une huile sur toile de 72,5 x 59 cm.

Dans sa peinture l’artiste à simplifier les formes des maisons pour les réduire à des cubes.

Il a ainsi éliminé les détails.

La couleur reste présente.

Son œuvre est inspiré de Cézanne qui a vécu dans se port lors de la guerre de 1870.. »

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