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« WILLIAM KENTRIDGE More sweetly play dance – William Kentridge Cette œuvre a été réalisée en 2015 et est considérée comme l’œuvre la plus importante de William Kentridge car elle aborde plusieurs thématiques importantes comme le temps qui s’écoule, l’histoire, la danse (de la mort) et l’ombre (relation avec l’histoire de la république et le récit de Platon qui parle d’esclave enfermé dans la cave et la seule expérience qu’ils ont eu du monde extérieur étaient les ombres de ceux qui passaient derrière eux, à l’extérieur. Quand ils ont été libéré, ils étaient désorientés car ils ne reconnaissent pas le monde pour ce qu’il est).

Ce dernier fait usage de plusieurs médias (utilise des personnes réelles, le décor est dessiné et il utilise de la musique et le tout est sous un format vidéo) Ceci est de fait une installation vidéo où le tout est accompagné par des mouvements (la vidéo n’est pas figé car des silhouettes se déplacent), le travail est en noir et blanc pour ce qui concerne la partie dessinée (le fond est donc très froid et figé), il y a également un travail de silhouette, ce qui permet de définir les personnages ; mais le plus important est le fait qu’il y ait une revendication derrière ce projet.

Nous pouvons dès lors remarquer qu’il y a une mise en couleur sur certains éléments précis.

Dans ce projet nous pouvons y voir une danse africaine interprétée par des personnages en noir, qui portent des animaux et des fleurs qui sont dessinées.

Le lieu représenté semble être en Afrique du sud, il y aborde dans cette installation les problèmes raciaux et sociaux d’Afrique du sud.

Cela montre que Kentridge se préoccupe des minorités et cela rejaillit dans son travail.

La présence des traits dans le ciel peut symboliser des orages, cela traduit une certaines violence (des conflits sudafricain que ces citoyens subissent).

Lors de cette danse nous pouvons remarquer que différents rôles sont joués (esclave, la mort, secrétaire, symphonie…Le sida y est même représenté).

De part ces éléments, le titre peut sembler contradictoire car la danse est plutôt brutale, mais c’est plus doux peutêtre par rapport à la situation actuelle de l’Afrique du sud.

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Ce projet raconte donc ce qui se passe en Afrique du sud pendant ces décennies (notamment la jeunesse malade).

Il a probablement décidé de raconter cette histoire à travers la danse car c’est une façon de s’exprimer en Afrique, et donc plus adéquat. L’œuvre est tout de même narrative, même s’il n’y a pas de scénario, il n’y a début ni de fin.

Le but est de présenter un message et pas une histoire.. »