Jean-Pierre Schmid, dit Lermite (1920-1977) : « Les ponts de Florence » (analyse)

« Binotto Paola, 1M11 15 mai 2010 Page 2 Son style est très particulier , car sa manière d’ analyser les paysages , transforme les objets du quotidien en une dimension abstraite.

Sens produit Je pense que dans cette œuvre , Lermite veut soulever la difficulté qu’il faut pour construire ces ponts ; il veut montrer tout ce qu’on doit faire, construire, investir pour créer quelque chose de nouveau.

Car en voyant cette œuvre on peut constater la complexité qu’elle dégage.

Conclusion Je trouve que ce tableau est difficile à comprendre au premier abord, car quand on le regarde sans connaître son titre il est impossible de savoir ce qu’il représente exactement.

Donc je pense qu’il est préférable de se renseigner sur le titre avant de contempler le tableau lui -même.

En voyant ce tableau, sans rien connaître, je n’ avais aucun intérêt à le regarder.

Mais à présent, après l’avoir analysé, je le regarde d’une autre manière.

Contre-image Pourquoi ce choix ? J’ai tout de suite choisi cette image de Keith Haring car je trouve que c’est complètement l’inverse du tableau de Lermite.

Premièrement, en voyant cette image j’arrive tout de suite à comprendre ce que c’est .

Pas besoin de lire le titre, car l’image parle d’elle -même; a lors que dans le tableau de Lermite, s’il n’y avait pas eu de titre, je n’aurais pas pu comprendre le contexte du tableau.

Deuxièmement, « Le Bonhomme » de Keith Haring représente la liberté, grâce à ses ailes et la fraîcheur de par sa couleur , alors que le tableau de Lermite « Les ponts de Florence » , exprime la tristesse d’un paysage urbain, comme si l’on était emprisonné par tous ses traits verticaux et horizontaux de couleurs contrastées en noir et blanc.

« Le bon homme » de Keith H aring. »