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Introduction à l'art de la RENAISSANCE

Publié le 26/11/2011

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Giorgio Vasari, peintre et sculpteur, auteur de la Bataille de Lépante qu'on voit au Vatican, et qui eut la charge d'achever le Palazzo vecchio de Florence publia, en 1550, la biographie des artistes italiens du XIIIe au XVIe siècle. Prenant le départ avec les Toscans qui rompirent, selon lui, avec la tradition, pour demander leur nouvelle manière aux Anciens, il a voulu démontrer, dans un gros ouvrage, Vies des plus grands architectes, peintres et sculpteurs italiens depuis Cimabue jusqu'à notre époque, qu'un univers nouveau était né au moment où l'Italie, sortant de la nuit médiévale, avait pu renouer avec son glorieux passé antique. Ce mouvement esthétique qu'il était le premier à discerner était la Rinascit, la Renaissance. Le mot est resté, mème s'il ne correspond guère à la réalité des faits.

« INTRODUCTION A L'ART DE LA RENAISSANCE renee, dans le Décaméron.

L'argent, seul, permet, dans une certaine mesure d'échapper aux épidé­ mies, en allant chercher refuge loin des centres contaminés.

La maladie influe sur les difficultés de l'économie qui souffre encore davantage des guer­ res, des soulèvements et des heurts politiques.

Les invasions anglaises en France coïncident avec la Grande Peste ; des bandes de brigands circulent dans les campagnes qu'elles pillent ; les paysans, affolés, brûlent les châteaux où quelques seigneurs s'enferment, derrière de hauts murs, pour mieux imposer leur loi.

· 13158 Un fait italien La cathédrale de Florence était restée inachevée depuis plusieurs générations quand la municipalité mit au concours la construction de la coupole qui lui faisait défaut.

Sculpteur et orfèvre, Filippo Brunelleschi proposa, en 1417, de construire la coupole ovoïde à double paroi qu'on voit aujourd'hui.

S.

Maria del Fiore devenait le premier grand monument de la Renaissance.

Ce morceau de bravoure que Michel-Ange tentera de surpasser à Rome n'avait pas d'égal depuis le Panthéon.

(Photo Nimatallah - Ziolo) Il convient cependant de ne pas nmrc1r le tableau.

Il y a de nombreuses régions où les mal­ heurs sont moins grands qu'ailleurs et n'atteignent qu'une proportion réduite de la population ; d'au­ tres qui y échappent complètement, ou ont su sur­ monter les difficultés.

C'est le cas des Flandres ; c'est surtout le cas de l'Italie, qui n'avait pourtant pas été ménagée et où les luttes des factions rivales pour la prise du pouvoir dans les villes était une véritable calamité nationale.

Ce qui a fait la force Page 2. »

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