Georges d'ESPAGNAT : NU A LA COMMODE
Publié le 01/09/2013
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Un nu... et une commode. D'Espagnat se révèle aussi provocateur que son ami Bonnard en jouant sur le contraste entre un univers bourgeois et une situation érotique.
Engagé volontaire en 1914, d'Espagnat ne reprendra la peinture qu'en 1920. Un an plus tard, à l'âge de cinquante et un ans, il se marie avec une touteieune femme, Marie de Ginestet. Ils auront un fils, que le peintre repré¬sentera souvent dans ses oeuvres. Fatigué de Paris, hanté par les souvenirs de la guerre, d'Espagnat cherchait à se rapprocher de la nature. Il opta pour la région du Quercy, qu'il avait visitée des années plus tôt et qui lui avait beaucoup plu. Il y acheta une propriété isolée, dont la terrasse dominait une vallée plantée de peupliers. Au loin se devinaient les reliefs du Massif central.
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