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Bahaus et Andy Warhol

Publié le 07/06/2012

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Shapolsky et al. Manhattan Real Estate Holdings, A Real Time Social System, as of May 1, 1971. L’Œuvre ci-dessus, est un dispositif qui est constitué d’un accrochage monumental, composé de trentetrois panneaux, comprenant 146 photographies noir et blanc d’architecture, représentant les façades d’immeubles de Harlem et du Middle East à New-York ; 146 feuillets dactylographiés, détaillant les tractations du magnat de l’immobilier Harry Shapolsky, entre 1951 et 1971 ; 2 plans ; 6 tableaux de transactions ; 1 panneau dactylographié explicatif. L’art et la politique sont deux environnements éloignés et proche à la fois. Eloigné car ce sont deux notions bien différentes mais proche car l’un ne va pas sans l’autre. L’artiste d’hier et d’aujourd’hui nous ont marqué par ces tableaux, ces photographies, ces installations qui dénonce et nous font réfléchir et surtout nous permettent de ne jamais oublier. L’Œuvre étant intemporel.    Références: « Picasso « par Roland Penrose, collection Champs chez Flammarion nº607    Art et société. L’artiste s’inspire des politiques pour denoncer et interroger, mais t’il pas de même pour la société? L’environnement, la société n’est pas une source d’information, de création permanente? On peut prendre l’exemple de Bill Traylor (1854-1947) qui travailla une grande partie de sa vie dans la plantation de coton de George Hartwell Traylor. En 1949, âgé de 83 ans, il se met à dessiner les scènes qu'il voit dans la rue et réalise ainsi en trois ans entre 1500 et 2000 œuvres. N 'ayant reçu aucune éducation scolaire ni artistique, Bill Traylor s'inspire de son environnement quotidien, de la société pour créer des compositions narratives ou fantastiques où se mêlent, le monde de la rue dans lequel il se trouve, aux souvenirs du monde rural de la plantation. Sa condition précaire l'oblige a utiliser des matériaux simples comme la mine de plomb. le crayon de couleur ou encore de la peinture à affiche sur des supports de récupération comme le papier ou le carton.   

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« REFERENCES: « design, introduction à l’histoire d’une discipline » d’Alexandra Midal Edition Pocket « Bauhaus »Edition Tashen EL LISSITSKY et LASZLO MOHOLY NAGY La démarche créative.

Lazar Markovich Lissitzky, dit El Lissitzky, peintre del'avant-garde russe, naît à Potchinok dans la province de Smolensk le 23 novembre 1890.

Il décède le 30 décembre1941 à Moscou.

El Lissitzky est aussi photographe, designer, architecte et typographe.

El Lissitzky fréquentel'Université technique de Darmstadt de 1909 à 1914 puis l'Université technique de Riga de 1914 à 1916.

De 1917 à1924, El Lissitzky illustre des livres pour enfants en yiddish.

Invité en 1919 à enseigner l’architecture et latypographie à l’école d’art fondée par Marc Chagall à Vitebsk, il y découvre le suprématisme et adhère à l’Ounovis :l'Union pour l’affirmation du nouvel art.

La même année, El Lissitzky crée ses premiers tableaux "Proun". Lazar Markovich Lissitzky LASZLO MOHOLY NAGY (1895/1946) est un peintre, un photographe et théoricien de laphotographie américain d'origine hongroise.

Cet artiste travaille sur les nouveau matériaux, il s’intéroge sur la lumièreet sa démarche créative est innovante.

« l’ analphabète du futur ne sera pas l’illettré mais l’ignorant en matière dephotographie »cette citation de l’artiste exprime l’idée de son action: celle de la curiosité sur ce qui l’entoure et surl’innovation de ce qui l’entoure.

À la fois peintre, sculpteur, cinéaste, réalisateur de collages et de montagesphotographiques et éducateur de renom, Lászlo Moholy-Nagy fut aussi ce pionnier de la photographie abstraite.Vers 1922, tandis que sa femme Lucia et lui-même entreprennent diverses expériences photographiques, Moholy-Nagy esquisse la conception d'un objet mobile tridimensionnel qu'il nomme « lichtrequisit », ou « accessoire lumineux».

Son idée consiste à projeter une lumière sur un mur blanc à travers les pièces mobiles d'une machine composéed'éléments de métal et de verre, créant ainsi des motifs saisissants dus à l'enchevêtrement des explosions d'ombreet de lumière.

Les effets lumineux abstraits ainsi obtenus évoquent les formes lumineuses de ses photogrammes desannées 1920. Moholy-Nagy, Modulateur lumière-espace.

Il recherche en permanence l’innovation, et en 1922 il crée un tableau partéléphone : " j’ai commandé par téléphone cinq peintures sur porcelaine émaillée à un fabricant d’enseignes.

J’avaisle nuancier de l’usine devant les yeux ainsi que mon dessin, réalisé sur papier millimétré.

À l’autre bout du fil, ledirecteur de la fabrique tenait devant lui une feuille de ce même papier, divisée en carrés.

Il y transcrivait les formesque je lui indiquais dans la position adéquate.

(C’était comme jouer aux échecs par correspondance).

L’un de cestableaux me fut livré en trois dimensions différentes, ce qui me permit de voir les subtiles variations provoquéesdans les relations de couleur par l’agrandissement et la réduction.

" (László Moholy-Nagy, The New Vision andAbstract of an Artist, New York: Wittenborn, 1947) Toujours à l’affut d’innovation Moholy expérimenta le processusde « photoplastique » La photoplastique a la même origine que le photomontage la prise de vue photographie.

Lespremiers photomontages consistaient par exemple à rassembler dans un portrait de groupe des personnes qui n'avaient pu été photographiés individuellement, Ou présenter des personnes dans un décor particulier qui n a rien àvoir avec la première prise de vue.

C est ainsi que furent pensé les premiers photomontages.

Les Dadaïstes lui ontapporté un sens plus précis et théorique.

Les photomontages eurent pour objectif de choquer et de dénoncer,protester, ou illustrer des poèmes ou réaliser des poèmes visuels.

La photoplastique est un procédé plus sophistiquéqui combine le photomontage et le dessin ou la trace.

Enseignant au Bauhaus, il édite, à partir de 1925, des livresdu Bauhaus, les « Bauhausbücher » Ceux-ci permettent à Moholy-Nagy de mettre en pratique ses recherchesconcernant la typophotographie, afin de placer le texte au même niveau que l’image lors d’une mise en page et decréer des rapports ambigus entre les deux.

En 1937 Moholy-Nagy fonde le New Bauhaus de Chicago.

En conclusionPour Moholy-Nagy, « l’ analphabète du futur ne sera pas l’illettré mais l’ignorant en matière de photographie ».onpeut se poser alors la question si déjà à l’époque l’artiste présenté déjà art spectacle et la manipulation des images.Peut on alors dire que le nombre « d’ analphabète » c’est-àdire ceux qui ne savent pas manipuler les images, se fontmanipuler par elle? Références: « Moholy Nagy Peinture, photographie, film » Edition folio « Moholy Nagy et le bahaus » de Jean-Christophe Tardivon Andy Warhol.

Artiste pop art, il est né le 6 août 1928 à Pittsburgh en Pennsylvanie, et mort à New York le 22 février1987.

Cet artiste est un homme de communication et d’affaire, il est son propre chef, chef d’entreprise de son art.

Iltravaille tout d’abord, dans la publicité, pour le magazine Glamour, c'est à cette occasion qu'apparaît pour lapremière fois son nom simplifié en Andy Warhol.

Il travaillera ensuite pour Vogue et Harper's Bazaar et créera sespremiers croquis pour le fabricant de chaussures I.

Miller ; il décore aussi des vitrines pour le grand magasin BronwitTeller.

Dans les années 50 il étudie dans une école d’art, mais ne ce considère pas artiste: « J'ai commencé commeartiste commercial et je veux terminer comme artiste d'affaires ».

On peut citer Jasper John, comme artisteannonciateur de Warhol, il produit en série, mais effectue ces œuvres à la main, c’est une duplication des tableauxmais de manière traditionnel. Jasper John.

L’une des 1ère exposition de Andy Warhol, est celle des vitrines de Bonit Teller en 1961, cetteexposition lui à permit d’activer son réseau.

On peut noter que l’influence de Lischtentieng, mais qu’il abandonnevite, il préfère les images des medias. Après plusieurs autres exposition, ( Printemps à paris…) il crée La FACTORY, entouré par des gens, qu’il paye bien,pour travailler.

Aucun artiste avant Warhol n’aurait oser y penser, il y avait avant les « ateliers », mais Andy Warholcrée « l’usine à art » Andy Warhol devient en quelques sorte un portraitiste de cour.

L’artiste facturait ses portraitsjusqu’à. »

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