analyse tableau de courbet, van gogh et famille leroy
Publié le 13/11/2012
Extrait du document
«
Étude historique
Ce tableau est appelé « le désespéré de Gustave Courbet » il est conservé au Musée
National D'Oslo.
Il a été exposé dans plusieurs endroits comme à Paris au Musée D'Orsay
, ou encore à New York, mais aussi à Montpellier.
Il a été peint entre 1843 et 1845, c'est
une huile sur toile, mesure 40x45 cm et Gustave Courbet appartient au mouvement du
réalisme et est dit le chef de file du courant réaliste.
Ici, il ne s'agit pas d'une commande car un autoportrait est fait le plus souvent par le
peintre lui même et dans tout les cas ce tableau a été fait pour montrer son désespoir.
Il
n'a été destiné à aucun lieu.
C'est une collection privée.
Le désespéré est probablement le tableau le plus singulier et le plus mystérieux de la série
des autoportraits de jeunesse de Gustave Courbet.
Cette œuvre fait partie des
nombreuses œuvres que Gustave Courbet a pu faire appartenant au réalisme (comme
« Le petit portrait au chien noir » ou encore « Le fumeur de pipe ».
Quand ce tableau a été
présenté pour la première fois au public, il n'a pas suscitéé de vives critiques et il est
quelque sorte une nouveauté pour son époque car Gustave Courbet vaêtree l'un des
premiers à faire du réalisme dans ses tableaux.
Son tableau que nous étudions a été
exécuté dans sa jeunesse vers l'age de ses vingts ans.
Je pense que ce tableau a
contribué a la montée du Réalisme pendant son époque.
Le tableau a été dévoilé au
Grand Palais pour la première fois, il a impressionner et marquer l'époque du réalisme.
Aujourd'hui, ce tableau nous étonnes encore avec ses détails et l'expression du
personnage que dégage ce tableau.
Étude Esthétique
Les yeux écarquillés, les narines dilatées, la bouche entr'ouverte, Gustave Courbet
semble vouloir s'avancer en direction du spectateur, se rapprocher de lui, le prendre à
témoin, l'attirer dans ses désespoir.
Il nous regarde, mais n'a pas vraiment l'air de nous
voir.
C'est à lui-même qu'il s'en prend, en s'arrachant les cheveux.
Il ne représente pas sa
personne ou son individualité, mais son acte, son élan.
L'éclairage est fait pour donner
l'impression que le personnage pousse vers l'avant.
Toute distance semble être abolie
entre l'image et la surface du tableau, et aussi entre le modèle et le spectateur.
Courbet ne
cherche pas à nous faire connaître sa personnalité (comme le faisaient Rembrandt ou Van
Gogh ), ce n'est pas son état émotionnel qu'il tient à exprimer.
La conviction qui sous-tend
ces tableaux est qu'il lui faut montrer son corps en tant qu'il est effectivement vécu .
Ainsi
s'explique la position des mains : mises en avant de manière insistante, elles montrées
comme sources de sensations, tournées vers l'intérieur et non pas vers une action
précise.
Le personnage prend toute la largeur du tableau, il est sur un fond de couleur
marron et ressort par la luminosité qui vient dans haut.
La gamme de couleurs est plutôt
restreinte par l'utilisation de marron, de beige et de blanc.
Ces couleurs donnent une
impression de froideur.
Le peintre a joué beaucoup le contraste de couleur et de lumière
avec les différents marrons que l'on peut percevoir et avec les touches de lumière qui
apporte au tableau en venant du haut.
La technique employé dans cette peinture est une
technique à l'huile.
Le peintre ici , pour le rendu des matières s'appliquent sur les détails
pour recréer du mouvement et de la vie.
Sa facture et sa touche sont fait avec épaisseur
et parcimonie..
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