Compte rendu: prostitution et tourisme

« Critiques : Enumération xomplexe de toutes les villes du sud qui ne laisse pas le temps de comprendre pour quelqu’un de novice sur le sujet Facile à lire et vocabulaire compréhensible Introduction de tableaux afin de comparer et de comprendre plus facilement les différences entre els régions qu’il met en évidence Nous parle d’affrontement entre différents groupes notammen entre ang-yi sans donner de èrécision sur pourquoi ni comment ceux la ont eu lieu L’editeur est Institut de recherche sur l’Asie du Sud-Est contemporaine en 2008 et mise en lige en 2018. Il y’a 65 pages L’auteur nous propose d’analyser le phénomène de prostitution dans la région du Sud-est de la Thaïlande.

Pour ce fait son approche sera d’abord globalisante et contextuelle afin d’arriver à mieux situer et comprendre la prostitution en Asie du Sud-Est. Une région caractérisée comme il le site par sa complexité, à partir de son étude de quatorze régions de l’Asie du Sud-est et de travaux déjà existant l’ouvrage dépeint les caractéristiques de cette région.

Gorgée de contradictions qui caractérise sa complexité, elle est à la fois une des régions les plus parée en richesse naturel du pays mais aussi une des provinces les plus pauvre.

En effet ce qui caractérise le Sud -est et tant ses mines d’étain, sa crevetticulture ou encore l’attrait touristique qu’elle représente principalement dans les villes de Bangkok, Pattaya...

lieux paradisiaques.

Elle est aussi le recueille de guerre civile, violence et le noyau de la prostitution en Thaïlande avec le plus grand nombre de prostituées. Jean Baffie nous présente d’abord le contexte géographique et ethnique de la région en détaillant sa superficie, le territoire qui dispose de la plus petite superficie du pays.

Une contextualisation géographique et politique.

Celle-ci débute de la province de Chumphon (60) et se termine par le sud à majorité musulmane de Satun au district de Songkhla.

Il énonce des différences interne importantes, s’appuyant sur ses propres recherches de terrain mais aussi d’œuvres déjà existante cependant peu connus ou peu utilisés par les chercheurs jusqu’ici.

Une personnalité à part qui laisse place à de nombreuses contradictions.

L’intérêt pour lui est de rendre compte de la diversité de ces espaces sociaux complexes à différents niveaux. Son ouvrage nous laisse découvrir une facette plus technique de la prostitution en Asie tant dans le choix de son approche assez descriptives des phénomènes politique, ethniques et sociaux de la région tant par son analyse descriptive qu’il fait de ces phénomènes. On y découvre l’origine ethnique et l’influence politique qu’abrite la région. Marquée par le communisme et sa diversité ethnique le sud de la Thaïlande n’observe de répit que dans certaines provinces qui pêche leur principale richesse dans le tourisme.

Phuket, une des seules provinces du sud à n’abriter aucune guérilla communiste se développement depuis 1973 dans le tourisme international. L’auteur nous énonce une distinction importante entre deux types de prostitutions en s’appuyant sur la ville de Phuket fortement touchée par le phénomène.

Il existe donc une prostitution pour locaux et une resserré aux touristes occidentaux, par le biais de bar , salons de massages...

Pas les même techniques pour les locaux qui eux se retrouve plus dans les bordels.

L’analyse de Phuket est un moyen pour Baffie de mettre en évidence la forte présence de population chinoise sur le territoire.

Victimes d’incendie en 1984, la ville de Phuket se fait prendre pour cible et la population jusqu’ici tolérante quant à la présence de nombreux bordel change et les proxénètes chinois autrefois rapidement libérés à l’aide Bakchich ou autre se voyait arrêté et sanctionné. L’auteur nous démontre à travers ces nombreux exemples l’impact historique, politique sur le phénomène de prostitution.

Les Thaïlandais pensant la prostitution plus comme un phénomène du au contexte politique et militaire ou de l’émergence de tourisme se voit peu à peu s’éloigner de leur image glamour de la prostitution et aborde le sujet plus sérieusement.

Considérant les prostituer comme victimes plutôt que délinquantes.

L’inconscient collectif change.

Le même procédé d’analyse sera réitéré avec la Patong rivale de Pattaya ou encore la ville du péché de Hat Yai développé par quatre familles chinoises. Il nous apprend que l’origine des prostitués est souvent du Nord qui se retrouve prostituée pensant faire toute autre chose.

Les clients font leur choix, négocie avec le patron pour se retrouver dans leur chambre d’hôtel avec leur prostituée qu’il ne paye que 300 baths soit 6 euros en général. Un cheminement est mis en évidence, le Nord fournit les prostitués et l’extrême sud et Malaysia les clients.

La peau claire est plus attendue pour les clients asiatiques et les peaux foncés sont plus aux gouts des occidentaux. Des distractions nocturnes différentes selon la ville, on apprend la concentration de ces lieux à Pattaya, Bangkok et Hat Yai. Nombreuses contradictions sont à notés, la région du sud-Est est une des régions possédant le plus de richesses et ressources naturelles du pays avec sa pêche par exemple mais c’est aussi la région comme nous l’appuie l’auteur à travers différents tableaux qui dépeignent ........

Une des provinces les plus pauvres. Mettre autre chose Le tourisme est plusieurs fois cité, Bangkok par exemple ville par excellence.

Le contraste entre ville touristique et la dangerosité de la région est assez surprenant.

Guerre civile, piraterie, sont monnaie courante.

Tout un chapitre sera consacré à l’aspect violent de la région qu’il énonce comme la plus violente de la Thaïlande.

Une mise en lien avec les différentes ethnies que l’on retrouve sur le territoire, présence.... »