Victor Hugo salue les «Premières Méditations»
Publié le 20/03/2011
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Matière. — Vous supposerez que V. Hugo écrit à Lamartine en 1820, alors qu'il vient de lire les Méditations poétiques. Il dit au poète, qui le précède de peu dans la carrière, les sentiments qu'a provoqué en lui la lecture de ces vers. LECTURES RECOMMANDÉES. — Victor Hugo, Littérature et philosophie mêlées : Sur un poète apparu en 1820, mai 1820, § 4, p. 59 sq., (édit. Hetzel-Quantin, in-18). — M. Roustan, La Lettre et le Discours. Conseils. — Souvenez-vous du mot souvent cité : «Voilà donc enfin des poésies qui sont d'un poète, des poésies qui sont de la poésie. «
Liens utiles
- Hugo, tout jeune (il n'avait pas encore 20 ans), écrit à Lamartine pour le féliciter de ses « Méditations » (1820). Il salue le lever d'une poésie nouvelle née au plus profond de l'âme.
- « Vini, Vidi, Vixi », Les Contemplations, Victor Hugo
- lecture linéaire: Victor Hugo Pauca meae (livre 4)
- Victor Hugo, Les Contemplations 1856 IV « Pauca Meae », 12 « A quoi songeaient les deux cavaliers dans la forêt »
- Victor Hugo, Les Contemplations 1856 I, « Aurore », 5, « A André Chénier »