Les classiques, les romantiques, les Parnassiens et le merveilleux chrétien.
Publié le 25/03/2011
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Matière. — Boileau pensait que le merveilleux chrétien est loin d'avoir la valeur esthétique du merveilleux païen (notamment dans son Art poétique à propos des poèmes épiques). A son tour, Théodore de Banville, qui pourtant n'aimait guère Boileau, a écrit dans un article sur La Fontaine : « En toute poésie bien construite, les dieux grecs sont les seuls dieux possibles du poète. « On sait d'autre part que Chateaubriand, dans son Génie du Christianisme, a soutenu la thèse contraire, et que Lamartine lui a donné raison dans ses préfaces et ses poésies. Quelle est votre opinion à ce sujet ?
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