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Le Phoque Moine de Méditerranée

Publié le 06/12/2011

Extrait du document

 

Lorsqu'on parle des phoques on pense aussitôt

aux massacres des jeunes phoques du Canada qui

défrayent annuellement la chronique. Il en existe

cependant d'autres dont on parle peu, peut-être

parce qu'ils n'intéressent pas les hommes pour leur

fourrure, mais qui pourtant risquent, si l'on n'y

prend pas garde, de disparaître totalement. Il s'agit

· des phoques moines de Méditerranée (Monachus

monachus), que certains appellent phoques à

ventre blanc à cause de la tache blanche qui orne

cette partie de leur corps. Une commission pour la

défense de ce phocidé s'est constituée, et demande

la création de parcs et de réserves qui permettraient

de préserver cette espèce de l'extinction totale.

« mément.

Il est abattu et se déplace peu ; en général, la mort survient très rapidement.

Malgré une période d'acalmie, cette maladie ne semble pas devoir dispàraître complètement, les lapins ayant échappé à la mort sont restés contagieux et cette épizootie continue à sévir.

Les lapins de clapier sont également sensibles à la myxomatose ; les éle­ veurs le savent bien, aussi vaccinent-ils périodique­ ment leurs reproducteurs.

Quant aux jeunes, ce sont eux qui sont Je plus souvent atteints, aussi doit-on les vacciner dès l'âge de trois semaines.

Ces méthodes préventives permettent d'empêcher l'extension de la maladie chez les lapins d'élevage, chose pratiquement impossible chez les « garen­ nes », qui, lorsqu'ils sont contaminés, meurent le plus souvent ou bien servent de réservoir de virus.

Signalons que, quoique l'ingestion de viande de lapin atteint de myxomatose ne soit pas conseillée, elle ne présente aucun danger pour l'homme.

Le Parc national des Cévennes et la chasse La Parc national des Cévennes, créé en septembre 1970, s'étend sur une partie des départe­ ments de la Lozère et du Gard.

Il occupe une superficie de 84 000 hectares ( 1 7 000 dans le Gard et 67 000 en Lozère).

Il est entouré par une zone dite périphérique qui recouvre une superficie de 23 7 000 hectares ; celle-ci se situe sur une partie des départements précédents ainsi qu'en Ardèche.

Bien qu'il soit riche du point de vue floristique et faunistique, on n'y rencontre pas d'espèce excep- tionnelle.

Certaines cependant sont devenues rares, telles l'Adonis printanière et le Lys martagon.

Parmi les animaux, beaucoup sont en voie de dis­ parition, comme la Gelinotte, l'Aigle royal, le Grand duc et la Bondrée apivore.

Les Cerfs, pré­ sents autrefois dans la forêt, ont été réintroduits, ainsi que les Mouflons et les Vautours fauves.

L'une des caractéristiques de ce parc est qu'il est habité de façon permanente.

On compte 120 exploitations agricoles totalisant environ 430 habi­ tants.

La zone périphérique, beaucoup plus peu­ plée, est occupée par approximativement 41 000 habitants.

On dénombre une population saison­ nière d'environ 60 000 personnes.

Le parc lui­ même, à faible densité humaine, était autrefois beaucoup plus peuplé, et comptait 2 000 habitants au début de ce siècle.

En principe la chasse est interdite dans l'enceinte des parcs nationaux.

Autorisée dans le Parc natio­ nal des Cévennes depuis sa création, elle est toute­ fois soumise à certaines restrictions.

La liste des espèces qui peuvent être chassées au cours de la saison 1978-1979 vient de paraître au Journal Offi­ ciel du 9 août, ainsi que les dates d'ouverture et de fermeture et diverses modalités de cette chasse.

Ouverture du 10 septembre 1978 au 7 janvier 1979 inclus, la chasse ne pourra être pratiquée que 3 jours par semaine, les mercredi, samedi et diman­ che, ainsi que les jours fériés.

Seuls pourront être chassés ou détruits les animaux suivants : lièvres, lapins, faisans, cailles, sangliers, renards, grives, pigeons, corneilles noires et chats harets.

Les « serres >> cévénoles.. »

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